Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La vision d'Avigdor
EAN : 9782749110936
Paru le : 6 mars 2008
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782749110936
- Réf. éditeur : 384734
- Collection : STYLES
- Editeur : Cherche Midi
- Date Parution : 6 mars 2008
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 233
- Format : H:207 mm L:131 mm E:23 mm
- Poids : 323gr
-
Résumé :
Ce livre est le quatrième et dernier d'un archipel dont la géographie est elle-même une histoire. Il y eut d'abord La Nuit sans Stella (Actes Sud, 1995), avec un bref essai, des photographies, un supposé fait-divers, une nouvelle dont la fin restait ouverte. Puis ce fut la première apparition, discrète, éphémère, d'un minuscule îlot, L'Ascenseur (éditions des Brigittines, un centre d'art à Bruxelles, 2002) : une note introductive, une courte nouvelle, un entretien. Était évoquée là une suite possible, sous la forme d'un roman assez ample, et il y eut en effet Immersion (Gallimard, 2005). L'année dernière, L'Ascenseur, îlot vite englouti, est remonté à la surface, avec une étendue plus vaste et des contours nouveaux (le cherche midi, 2007). Voici donc (chez le même éditeur) la suite et fin, ou plus exactement une ramification, du roman Immersion, puisqu'il s'agit du travail de corrections du Marchand de Venise, de Shakespeare, auquel s'est livré un de ses personnages, Avigdor Sforno. Ici, l'auteur passe à l'acte, en somme, puisque, retrouvant en David Fischer son double ou son intermédiaire, il se met en devoir d'accomplir le projet d'une autre figure de la fiction : par chance, il ne s'agit pas d'un Raskolnikov, et le crime reste mineur. Parfois, pour écrire, il faut inventer par l'écriture l'auteur que l'on n'est pas.