Le chien qui riait

Trois destins ordinaires d’ados basculent dans la haine et le meurtre. Leur route va croiser celle de Stark, un flic cassé par la vie, que cette nouvelle criminalité horrifie. Et ce ne sont ni les sentiments amoureux qu’il ressent pour la mère de l’un d’eux, ni son expérience de policier confronté depuis toujours à l’extrême violence d’un monde qui n’en finit pas de se perdre, qui vont l’aider à garder foi dans l’humanité. Heureusement il y a le chien.
Après Le Cinquième Jour et Mauvais frère, Le chien qui riait démontre une fois de plus le talent de Maud Tabachnik pour explorer le cheminement imprévisible et effroyable de ceux qui ont perdu le sens de ce qui fait un être humain.

Maud Tabachnik est née à Paris en 1938. Elle est d’abord kinésithérapeute. Son premier roman, La Vie à fleur de terre est publié en 1991. Elle poursuit son œuvre, de polars en thrillers, qu’elle conçoit comme une chronique sociale. Plusieurs de ses romans se déroulent aux Etats-Unis, animés par le lieutenant de police Sam Goodman et la journaliste Sandra Khan.