Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Le dernier Aragon
EAN : 9782360130054
Paru le : 12 mai 2010
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782360130054
- Réf. éditeur : 428653
- Editeur : Riveneuve
- Date Parution : 12 mai 2010
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 197
- Format : H:212 mm L:143 mm E:18 mm
- Poids : 254gr
-
Résumé :
"C'est le siècle qu'on porte en terre", avait écrit "Libération", au jour des obsèques du grand écrivain Louis Aragon (1897-I982) à qui Mitterrand refusa toutefois des funérailles nationales. De ce siècle-là et de sa légende, le romanesque Aragon, fils caché d'un ancien préfet de police de Paris, a en effet tout connu : les deux guerres mondiales, Résistance incluse ( ses médailles militaires n'étaient pas sa moindre fierté), l'épopée débutante, puis la tragédie du communisme, la guerre froide du côté qu'il avait choisi dès les annnées 20, les premiers soubresauts à l 'Est, la rébellion de la jeunesse en 68 ( il fut le seul hiérarque du PCF à se risquer, en Mai, au Quartier Latin), etc. Pour ne rien dire d'une oeuvre multiple, sinon infinie qui a fait de lui l'autre Victor Hugo, "moins le théâtre", disait-il en souriant . "Quoi qu'on dise et pense, il restera Le Virtuose", répétait son vieil ami des premiers temps du surréalisme Philippe Soupault.
"Mise en scène de son déclin" pour les uns, "tragédie" pour d'autres, le crépuscule d'Aragon (197O-1982) avait été à ce jour très peu évoqué par les aragonautes (ou aragoniens) Pour le raconter, l'auteur a rencontré de nombreux proches et familiers : peintres, comédiens (Judith Magre, Patrice Kerbrat), écrivains (Régis Debray, Jean d'Ormesson ), dirigeants com-munistes (Jack Ralite, notamment), universitaires et autres" personnages" plus méconnus, mais pas moins attachants, du "grand théâtre aragonien " (François Nourissier). "Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard", chantait le si complexe "Louis" ( pour ses amis). Il parlait sans doute d'expérience ...