Le Dernier Chapitre

Belles Lettres - EAN : 9782251456812
Knut Hamsun
Édition papier

EAN : 9782251456812

Paru le : 5 févr. 2025

15,50 € 14,69 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 5 févr. 2025
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782251456812
  • Collection : DOMAINE ETRANGE
  • Editeur : Belles Lettres
  • Date Parution : 5 févr. 2025
  • Disponibilite : Pas encore paru
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 430
  • Format : H:25 mm L:125 mm E:191 mm
  • Poids : 432gr
  • Résumé :

    Quand Knut Hamsun publie Le Dernier Chapitre, il est à l’apogée de sa gloire. Trois ans auparavant, le Prix Nobel l’a placé au premier rang de la littérature internationale. Le succès, cependant, ne l’a en rien éloigné des grands thèmes qui l’obsèdent. S’il n’exalte plus, comme dans Les Fruits de la terre, les joies de la nature, il n’en condamne pas moins l’avilissement de l’individu par le mode de vie industriel et l’irrémédiable coupure établie entre la civilisation et la vie paysanne, source de poésie et de liberté.
    Le cadre fictif de cette société est un sanatorium de montagne où malades et bien portants sont venus soigner leur mal de vivre. Qu’ils soient petits bourgeois insatisfaits, escrocs, parvenus, ou désespérés, ces hommes et ces femmes se livrent, porteurs de différents masques, à une danse macabre de solitude et d’amour que mène le Suicidé, superbe anti-héros de l’absurde pour qui la mort est un rêve. La mort, dernier chapitre du roman de la vie.

  • Biographie : Né en Norvège dans une famille pauvre, Knut Hamsun (1859-1952) découvre la lecture en autodidacte, exerce divers petits métiers et tout en voyageant à travers le monde, il commence à écrire. Publiée en 1890, La faim lui apporte la célébrité et en 1920, il reçoit le Prix Nobel de Littérature. Amoureux de la nature, grand admirateur de Nietszche, son âpre critique de la société moderne le conduit à adhérer aux thèses hitlériennes et il soutient le gouvernement Quisling. Après la guerre, il évitera la prison mais il perd tous ses biens et finira sa vie dans un asile. Pour Henry Miller, il n’en reste pas moins « un aristocrate de l’esprit ».
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.