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Le fils aîné, pièce en deux actes - Alexandre Vampilov
Alidades - EAN : 9782919376414
Édition papier
EAN : 9782919376414
Paru le : 15 mars 2016
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- EAN13 : 9782919376414
- Collection : PBR
- Editeur : Alidades
- Date Parution : 15 mars 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 64
- Format : H:210 mm L:135 mm E:10 mm
- Poids : 130gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Deux jeunes gens s'incrustent dans une famille soviétique au sein de laquelle les liens sont en déliquescence : une farce qui tourne bien vite au drame et révèle aussi bien les faiblesses que les beautés de chacun des personnages. Une interrogation, tout particulièrement, sur les relations des pères et des fils.
- Biographie : Lorsque Alexandre Valentinovitch Vampilov se noie accidentellement dans le lac Baïkal le 17 août 1972, il n'a que 35 ans et son talent d’auteur dramatique commence tout juste à être reconnu dans une Union Soviétique où le «dégel» culturel, quoique bien réel, se heurte encore aux pesanteurs, aux conservatismes et aux hésitations. Pour preuve, ses pièces Les adieux (1966) et Le fils aîné (1965-1970) ne sont acceptées à Moscou que l’année de sa mort. Cependant Vampilov est en 1973 l’auteur le plus joué en U.R.S.S. (pas moins de 39 représentations de Le fils aîné) et sa renommée ne s’est pas amoindrie jusqu’à nos jours. Si son théâtre a été intégralement traduit en diverses langues et a su susciter l’intérêt des metteurs en scène anglais, espagnols, américains, canadiens, sa diffusion reste très confidentielle en France: peu traduit, peu édité, peu joué. C’est que l’œuvre de Vampilov est à prendre avec des pincettes: de facture apparemment classique, en tout cas ne cherchant pas ses effets dans des choix d’écriture ostensiblement en rupture avec la tradition du théâtre russe, elle sait ménager une part d’incertitude légèrement (mais si efficacement) grinçante, un décalage permanent entre la comédie et le drame, entre l’apparente légèreté des situations et ce regard à peine ironique et désabusé qu’elles appellent.