Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Le Français préclassique 14 - 2012
Inalf - EAN : 9782745324269
Édition papier
EAN : 9782745324269
Paru le : 4 déc. 2012
45,00 €
42,65 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782745324269
- Réf. éditeur : 07532426
- Collection : FPC 14
- Editeur : Inalf
- Date Parution : 4 déc. 2012
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 248
- Format : H:0 mm L:240 mm E:160 mm
- Poids : 520gr
- Résumé : Philippe Selosse, « Préface », p. 9-10. Articles [Actes du colloque de l’Université Broek « Le choix de la langue dans la construction des publics en France à la Renaissance »] Remerciements, p. 13. Renée Claude Breitenstein, Tristan Vigliano, « Introduction », p. 15-22. 1re PARTIE : « LE CHOIX DU FRANÇAIS : UNE LANGUE ET SES PUBLICS À LA RENAISSANCE » François Paré, « Renaissance, plurilinguisme et minorisation », p. 25-34. Mawy Bouchard, « Quand ‘‘rendre public’’, c’est ‘‘faire public’’ : publier en français à la Renaissance », p. 35-52. Myriam Marrache-Gouraud, « Les ‘‘Essais’’ de Rabelais (Pantagruel, Chapitre IX) », p. 53-64. Mathilde Aubague, «Rabelais et le choix du vulgaire, élément d’une stratégie narrative. Construction et sélection de ses publics du Pantagruel au Tiers Livre (1532-1546) », p. 65-78. Marthe Paquant, « Les régionalismes du français chez Guillaume Paradin (ca 1510-1590) : choix ou nécessité ? », p. 79-94. Élise Rajchenbach-Teller, « ‘‘À l’imitation de l’archer’’ : justifications linguistiques dans La Poesie françoise de Charles de Sainte-Marthe (Lyon, Le Prince, 1540) », p. 95-107 Mathieu Ferrand, « Le latin sur les tréteaux de théâtre en France au début de la Renaissance : une langue en représentation », p. 109-126. 2e PARTIE : « AUTOTRADUCTIONS, TRADUCTIONS, RETRADUCTIONS : MAIS POUR QUI TRADUIT-ON ? » Philip Ford, « ‘‘De transitu latinitatis ad gallica scripta’’ : remarques sur la traduction littéraire à la Renaissance », 129-143. Luc Vaillancourt, « ‘‘Non est mortale quod opto’’ : Gabriele Simeoni et la traduction sélective », p. 145-155. John Nassichuk, « Les Métamorphoses de Cupido (1561) et la personnalité ovidienne de François Habert », p. 157-169. Grégoire Holtz, « ‘‘Ò toy, qui desires l’Acroissement de ta Langue’’ : la politique du vernaculaire à l’épreuve du voyage dans les Observations de Pierre Belon », p. 171-185. Claude La Charité, « Les traductions latines de la harangue d’Henri III aux États Généraux de 1576 », p. 187-198. Irene Finotti, « Nouvelles langues, nouveaux publics : le cas de deux romans sentimentaux », p. 199-212. Rainier Grutman, « Frontières et négociations linguistiques à la Renaissance. », p. 213-229. Comptes rendus Marthe Paquant, « M.-J. Pinvidic (éd.), La Fleur des batailles Doolin de Maience, publiée par Antoine Vérard (1501) », p. 231-234. Marthe Paquant, « X. Le Person (éd.), Pierre de L’Estoile, Journal du règne de Henri IV, T.I, 1589-1591 », p. 234-237. Philippe Selosse, « B. Colombat et M. Peters (éd.), Conrad Gessner, Mithridate. Mithridates (1555) », p. 237-244.