Le gars

Des Femmes - EAN : 9782721004253
TSVETAIEVA MARINA
Édition papier

EAN : 9782721004253

Paru le : 16 mars 1992

14,25 € 13,51 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782721004253
  • Réf. éditeur : 524896
  • Collection : POESIE
  • Editeur : Des Femmes
  • Date Parution : 16 mars 1992
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Format : H:185 mm L:120 mm E:11 mm
  • Poids : 137gr
  • Résumé : En 1922, Marina Tsvétaïeva écrit en russe un poème qui s'inspire du célèbre conte d'Afanassiev, Le Vampire, l'histoire de la belle Maroussia qui tombe amoureuse de celui avec lequel elle a dansé toute la nuit. Le lendemain, elle le suit à l'église et le voit dévorer un cadavre. En 1929, à Paris, elle entreprend de traduire son poème en français. Elle l'intitule Le Gars. Puis elle écrit un conte, toujours sur le même thème, et le fera précéder d'un avant-propos : « Ceci est l'histoire d'une jeune humaine qui aima mieux perdre ses proches, elle-même et son âme que son amour. Ceci est l'histoire d'un damné qui fit tout pour sauver celle qu'il devait infailliblement perdre. D'une humaine devenue inhumaine, d'un damné devenu humain... Et voici enfin, la Russie rouge d'un autre rouge que celui de ses drapeaux d'aujourd'hui. » Plus qu'en simples variations sur le thème de l'amour et de la mort, l'inquiétante étrangeté joue avec la langue. Vie et mort se croisent, se trahissent, se traduisent.
  • Biographie : Marina Tsvétaïeva, née en 1892 à Moscou, émigre en 1922, après la Révolution d'Octobre. Après trois ans passés à Berlin et en Tchécoslovaquie, elle se rend à Paris, où elle vit de 1925 à 1938. Refusant « l'esprit de parti », elle n'est acceptée ni par les Rouges, qui l'accusent d'avoir trahi leur cause (notamment dans son recueil Le Camp des cygnes), ni par les Blancs, qui lui reprochent son admiration pour Maïakovski ou Pasternak. Elle retourne ensuite en URSS, et s'y suicide en 1941.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.