LE JOURNALISME AVANT INTERNET

Tengo - EAN : 9782354611545
JOSE-ALAIN FRALON
Édition papier

EAN : 9782354611545

Paru le : 10 oct. 2018

19,00 € 18,01 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782354611545
  • Réf. éditeur : 909331
  • Collection : ESSAIS LA TENGO
  • Editeur : Tengo
  • Date Parution : 10 oct. 2018
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 144
  • Format : H:241 mm L:159 mm E:12 mm
  • Poids : 268gr
  • Résumé : Thierry Desjardins, grand reporter au Figaro, achète... un avion pour se rendre au Tibesti, région désertique du Tchad, où l'ethnologue française, Françoise Claustre, est retenue en otage. André Veyret, fait-diversier au Dauphiné libéré, n'hésite pas, lui, à prendre la tête d'un groupe de jeunes policiers grenoblois pour poursuivre l'agresseur d'une prostituée, avec la ferme intention d'attraper sa carte d'identité et de faire passer sa photo dans son journal. « C'est bizarre, tu me dis que tu es à Rio, mais je crois entendre le bruit caractéristique de la chasse d'eau des toilettes du Ritz, qui jouxtent les cabines téléphoniques ! » fait remarquer son rédacteur en chef à François Caviglioli, journaliste vedette au Nouvel Observateur, qui, fidèle à son habitude, a préféré rester à Paris pour réaliser son reportage... Ancien grand reporter au Monde et collaborateur régulier à la revue Schnock, José-Alain Fralon nous raconte ces histoires, et tant d'autres de la plus comique à la plus tragique, pour dresser le portrait d'une époque, où la presse écrite, quotidienne comme hebdomadaire, avait les moyens d'envoyer des équipes aux quatre coins du monde comme dans les endroits les plus retirés de l'Hexagone. Le temps, avant l'Internet et les portables, où il fallait se battre pour pouvoir dicter ses papiers à son journal, mais le temps aussi où les reporters avaient la possibilité de rester plusieurs semaines, voire plusieurs mois, sur place pour les besoins de leur enquête. C'était pas forcément mieux avant, semble nous dire Fralon, mais c'était pas mal quand même.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.