Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Le livre du bonheur
J'ai Lu - EAN : 9782290012383
Édition papier
EAN : 9782290012383
Paru le : 1 oct. 2008
5,60 €
5,31 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782290012383
- Réf. éditeur : M08401
- Collection : LITTERATURE
- Editeur : J'ai Lu
- Date Parution : 1 oct. 2008
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 160
- Format : H:178 mm L:110 mm E:10 mm
- Poids : 105gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Le jeune et célèbre violoniste russe Sam Adler décide de se donner la mort dans une chambre du Grand Hôtel à Paris. Il écrit à Véra pour lui expliquer son geste. Une lettre dans laquelle se mêlent la nostalgie de leur ville natale, Saint-Pétersbourg, la déception face au succès et le désespoir d'aimer jamais quelqu'un d'autre que cette amie d'enfance dont le souvenir l'obsède. Devant le cadavre de celui qui fut à la fois son compagnon et son amoureux, les souvenirs submergent la jeune femme...
- Biographie : Née à Saint-Pétersbourg le 8août 1901, elle meurt à Philadelphie le 26septembre 1993. Elle passe sa jeunesse en Russie et connaît l'exil dès son adolescence : jugé anti-révolutionnaire en 1917, son père est contraint de démissionner et de quitter Saint-Pétersbourg en raison de l'expulsion massive de l'intelligentsia dès 1922. En 1924, ils rejoignent Gorki à Sorrente où ils séjournent quelque temps avant de s'installer à Paris. Nina Berberova vit dans l'indigence matérielle et le luxe intellectuel. Elle entreprend aussitôt de composer de courts récits qui ne seront publiés en France que soixante-huit ans plus tard sous le titreChroniques de Billancourt. Lasse de l'indifférence française, elle part pour New York en 1950. Sept ans plus tard, elle enseigne la littérature russe à Yale puis à Princeton. Pourtant, son oeuvre devra attendre encore pour être reconnue. C'est grâce à une traductrice, Lydia Chweitzer, et au flair d'un éditeur qu'en 1985 paraît en FranceL'Accompagnatrice. Tous ses romans sont des histoires faites "de gloire, de misère, de folie et de boue", écrit-elle à la fin de ses mémoires,C'est moi qui souligne.