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Le Miskarel
Le Sausse P - EAN : 9782956297321
Édition papier
EAN : 9782956297321
Paru le : 26 oct. 2018
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- EAN13 : 9782956297321
- Editeur : Le Sausse P
- Date Parution : 26 oct. 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 404
- Format : H:230 mm L:155 mm E:21 mm
- Poids : 650gr
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Résumé :
Margot peut sortir hors de son corps. Dès qu’elle veut s’éloigner de la terrible réalité de cette année 1348 qui vient de voir passer la peste noire sur la Provence, elle laisse son esprit s’échapper. Tenue pour responsable de la mort d’un couple de nobles, elle décide de se rendre à Avignon pour convaincre Agathe, la seule rescapée de l’accident, de son innocence.
En route, elle va découvrir une nouvelle Provence : celle de « l’après » peste noire. Loin des morts, reste la déroute de ceux qui ont été épargnés par « la colère de Dieu » et la folie qui a gagné une partie des survivants. Les conséquences économiques et sociétales de la peste sont terrifiantes, mais une société tente de se reconstruire avec ce qu’elle leur a laissé.
Tout cela est déjà difficile, alors pourquoi faut-il que Margot se retrouve dans le corps d’Agathe quand elle sort du sien ? Et surtout vice-versa ! Quoique, un bon lit et trois repas par jour, cela donne à réfléchir. Mais va-t-elle se rendre compte que la vie d’Agathe est menacée ?
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Biographie :
Maître d’œuvre, pilote de chantier, Patricia Le Sausse a développé, lors des longs trajets pour se rendre sur ses lieux de travail, le goût des histoires inventées pour passer le temps. Mis à part, cette facilité à enjoliver la réalité, elle ne peut pas se targuer d’avoir eu l’envie d’écrire dès l’adolescence ou d’avoir noirci des pages de cahier mue par une impérieuse nécessité.
Non, rien de tout ça ! Ce n’est que sur le tard qu’elle s’est désolée d’avoir perdu la plupart de ces contes dont ne lui restait que l’idée qu’ils étaient plutôt « pas mal ».
À ceux qui lui demandent, aujourd’hui, pourquoi elle écrit, la seule réponse qu’elle peut leur donner est : « parce que ce jour-là, je me suis dit : pourquoi pas ? »