Le paradis aux acacias

Al Manar - EAN : 9782364262164
MOSES EMMANUEL
Édition papier

EAN : 9782364262164

Paru le : 15 sept. 2018

16,00 € 15,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782364262164
  • Editeur : Al Manar
  • Date Parution : 15 sept. 2018
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 60
  • Format : H:210 mm L:150 mm E:7 mm
  • Poids : 120gr
  • Résumé : Je ne me sens pas très bien. Où se trouve le cimetière le plus proche ?

    La mer, à peau de cétacé.
    Nous disparaîtrons sans laisser de traces. Mais nous aurons compris le secret de l’univers.

    Le paradis aux acacias : ce lieu, ces instants, c’était tout pour moi ; l’essence du bonheur. Et l’essence du bonheur, c’est d’être. Rien d’autre. D’être, exclusivement, impérieusement, son essence propre. Intolérant au reste, eût-il ses lettres de noblesse.


  • Biographie : Emmanuel Moses, poète et romancier, a publié depuis 1988 une trentaine d’ouvrages (chez Al Manar, Le voyageur amoureux, 2014 et Ivresse, 2016). Il est également traducteur, notamment de l'hébreu moderne.
    Il poursuit la construction d'une œuvre singulière où se mêlent et se côtoient abstrait et concret, imaginaire et réel, horreur et humour, passé et présent. En témoignent les aphorismes rassemblés ici.

    Sylvie Turpin, peintre et graveur, expose régulièrement, depuis 1978, en France, en Belgique, en Espagne, aux Etats-Unis...
    « Sylvie Turpin explore une technique picturale qui se tient à distance égale de la sculpture et du tableau, comme si c’était précisément cette distance qui permettait à l’artiste d’aller à même les limites dans lesquelles l’œuvre s’offre et s’expose au regard. »
    (Ph. Armstrong)
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.