Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE PECHE D'ECARLATE
EAN : 9782258147270
Paru le : 30 août 2018
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782258147270
- Réf. éditeur : 664615
- Collection : TERRES FRANCE
- Editeur : Presses Cite
- Date Parution : 30 août 2018
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 313
- Format : 2.80 x 14.10 x 22.60 cm
- Poids : 415gr
-
Résumé :
Au début du XXe siècle, pourquoi Duradieu, cet homme si bien né, est-il devenu à ce point cynique et méchant ? Aveugle à la suite d'un accident, il découvre peu à peu sa part d'humanité et l'amour des autres, dont celui de la douce Lucie.
En Auvergne, au début du XXe siècle.
Tout destinait Georges Juradieu à une existence heureuse : beauté, intelligence, considération, richesse. Tout lui fut accordé. Mais, encore enfant, il assiste à l'assassinat de son père, banquier, par le fils d'un homme que la banque Juradieu a conduit à la ruine et au suicide. Devenu un fils de banquier en banqueroute, Georges découvre alors la méchanceté humaine.
Désormais, avec un cynisme et une violence rares, il s'applique à être partout le plus méchant, jusqu'à ce qu'il devienne lui-même victime de son système : un accident " provoqué " par un contremaître qui le déteste le laisse aveugle et défiguré.
Alors, du fond de la nuit, lentement, Georges Juradieu prend conscience de la face cachée de l'homme grâce aux démonstrations de gentillesse, de patience, d'attention envers lui. Mais surtout grâce à la jeune Lucie, qui va avec beaucoup d'amour anéantir toutes ses erreurs passées et le dépouiller de son ancienne peau " d'aspic "...