Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Le petit Boutang des philosophes
Provinciales - EAN : 9782912833471
Édition papier
EAN : 9782912833471
Paru le : 24 nov. 2016
14,00 €
13,27 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782912833471
- Réf. éditeur : 106779
- Editeur : Provinciales
- Date Parution : 24 nov. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 100
- Format : 0.60 x 14.50 x 19.50 cm
- Poids : 125gr
- Résumé : - Fabrice Luchini, vous lisez l'Évangile de saint Marc ? - Pas encore. Avant de plonger dans les Évangiles, je lis Pierre Boutang. C'est du lourd ! Hier soir, je dînais avec François Hollande qui me dit : Vous lisez Boutang ? C'est la passion de mon père ! Je lui réponds : Transmettez mon salut admiratif à votre père car un lecteur de Boutang, c'est un costaud. Je suis paumé... - Qu'est-ce qui vous attire chez Boutang ? - Le poison de la curiosité. Pourquoi suis-je ainsi happé ? C'est d'un tel niveau philosophique que je n'ai pas les moyens de suivre. Pourtant j'y vais. Autant Nietzsche, je peux facilement m'y mettre, car c'est un styliste poète, autant ces philosophes qui mettent Kant en allemand face à Thomas d'Aquin en latin... je ne fais pas le poids ! (Fabrice Luchini interrogé par Luc Adrian pour Famille chrétienne, le 10 mai 2016.) Ce livre est un manuel pour commencer à lire Boutang, le philosophe français le plus nécessaire et le plus libre du siècle. AUTEURS Le Professeur Pierre Magnard a reconnu l'apport, la force et la cohérence de sa critique de l'écriture entravant la transmission, qu'a inspirée principalement son long compagnonnage avec Boutang : cette âpre et décapante critique des usages idolâtriques de l'écriture et de l'argent jette un soupçon sur l'innocence présumée de l'écriture, qui semble avoir alors parti lié avec le souci de posséder, mais aussi d'exiger, de dominer et de sanctionner. Régis Debray a trouvé passionnante cette réflexion sur l'écriture et l'interdit de l'image, tout en n'en partageant pas les conclusions. Dans un sens assez proche de Jean-Claude Milner, Henri Du Buit laisse entendre que le glissement totalitaire de la modernité ne serait pas à chercher d'abord du côté des sciences de la nature mais du côté de la prédominance de l'écrit sur la parole. De toutes les techniques, l'écriture est la première (non pas dans l'ordre chronologique, sans doute, mais dans l'ordre logique) ; la perversion de la technique en technocratie est donc à chercher d'abord dans une perversion de l'écriture (Fabrice Hadjadj).