Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Le Petit Chaperon rouge
Flammarion - EAN : 9782081336551
Édition papier
EAN : 9782081336551
Paru le : 6 mai 2014
2,90 €
2,75 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782081336551
- Réf. éditeur : S31402
- Collection : ETONNANTS CLASS
- Editeur : Flammarion
- Date Parution : 6 mai 2014
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 192
- Format : H:177 mm L:124 mm E:9 mm
- Poids : 166gr
- Résumé : Dans un univers où la magie et le rêve se mêlent à la réalité, les personnages des contes de Grimm se retrouvent souvent dans des situations périlleuses et inquiétantes. Mais la bonté l'emportant toujours sur la méchanceté, l'humour sur la peur et la ruse sur la force, nos vaillants héros parviennent avec malice à se tirer d'affaire.
- Biographie : Si Jacob (1785-1863) et Wilhelm Grimm (1786-1859) sont indissociables dans leur célébrité, c'est plutôt à Wilhelm que revient l'initiative de la formidable entreprise d'exploration de la littérature populaire allemande car Jacob était, lui, plus inspiré par ses études juridiques. Publié en 1812, leur premier recueil de contes sera complété et enrichi sans cesse jusqu'en 1857. La valeur de ce travail de collecte et de transmission repose autant sur l'intelligence des deux frères (Jacob est aujourd'hui considéré comme le fondateur de la philologie allemande), que sur leur principe de fidélité à l'esprit populaire qui les poussa à économiser leurs effets littéraires (au contraire de Perrault qui avait tendance à " enluminer " ses textes).