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Le singulier voyage d'une Bretonne
Feed Back - EAN : 9782956218548
Édition papier
EAN : 9782956218548
Paru le : 15 nov. 2019
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- EAN13 : 9782956218548
- Réf. éditeur : LSVDB2
- Editeur : Feed Back
- Date Parution : 15 nov. 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 96
- Format : H:150 mm L:210 mm E:8 mm
- Poids : 244gr
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Résumé :
Pour prolonger l’émotion éprouvée par la lecture «de Quimper à Cayenne, le singulier destin d’une Bretonne », Jean-François Tifiou et Antoine Guirriec nous invitent à parcourir un nouvel album consacré à la Guyane. Cartes postales et gravures anciennes fixent dans le temps l’itinéraire de Marie-Corentine dans une réalité brute, sans artifice et aux accents poétiques. De Saint-Martin-de-Ré d’où partent les bagnardes à l’arrivée en Guyane, nous la suivons et découvrons la Guyane d’antan aux couleurs sépias, les rues de Cayenne, le café de Paris, la place des Palmistes, le magasin La conscience. Guidés par ses commentaires souvent avisés, nous faisons un bond dans le temps jusqu’à Saint-Laurent, terre de l’Administration Pénitentiaire, qui y reçoit les déportés, les relégués, hommes, femmes qui n’avaient plus le droit de vivre en Métropole. Les bâtiments du bagne tout en briques et punitions nous rappellent à la réalité affreuse, sinistre image de la Guyane encore vivante aujourd’hui.
« Je voudrais mourir d’un coup sans souffrance » dit notre héroïne comme pour accepter son sort. Et puis elle a un sursaut de vie, elle ouvre les yeux, découvre les hommes et les femmes. Elle n’est pas indifférente à ce qu’elle voit, qu’elle perçoit de ce pays qui lui fait penser au sien…
Le lecteur est happé par l’histoire et s’imagine à ses côtés quand elle réalise chaque jour qu’elle est reléguée sans espoir de retour, sans espoir de pouvoir un jour revoir « son Joseph ».
Elle aimera cette terre jusqu’à sa mort devant l’église de St Laurent le 23 décembre 1903.
Extirpées de l’oubli, choisies avec soin, ces images nous remémorent notre passé pas si lointain et nous relient à jamais à Marie-Corentine.
Marie-George THEBIA