Le suicide d'epicure

EAN : 9782332565211
Sarah Darnezin
Édition papier

EAN : 9782332565211

Paru le : 5 juil. 2013

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  • EAN13 : 9782332565211
  • Réf. éditeur : 498908
  • Collection : CLASSIQUE
  • Date Parution : 5 juil. 2013
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 358
  • Format : H:204 mm L:134 mm E:28 mm
  • Poids : 410gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Pour tout un chacun Epicure est ce philosophe de la Grèce antique, dont la doctrine repose sur une forme d'hédonisme et la recherche raisonnée du plaisir. Pour moi, il a pris à jamais le visage blême de l'Association éponyme et de ses établissements : un lycée hôtelier et un centre de rééducation, destinés aux déficients visuels, tous deux situés à Saint-Gaudens, en Midi Pyrénées. Largement couverte par les médias locaux, leur ouverture triomphante a cependant connu un revers d'une envergure exceptionnelle. Très vite en effet, le louable " projet Epicure " est devenu " l'affaire Epicure ", entachée d'une myriade de plaintes et de procès, voyant ses dirigeantes publiquement contestées. Mais l'affaire a surtout grandement dérouté bon nombre de personnes déficientes visuelles, ainsi que de nombreux salariés contraints de faire le deuil d'un emploi qui leur avait été décrit comme pérenne et prometteur. Que s'est-il donc passé ? Que s'est-il passé... en réalité ?
  • Biographie : Ce récit est le premier tome d'une défaite annoncée à laquelle j'ai pris part malgré moi et dont j'ai fait la douloureuse expérience de l'intérieur. Mon souhait de la projeter au-delà des murs qui l'encerclent encore vise quatre raisons principales : rectifier quelques incorrections et contre-vérités alléguées par certains protagonistes tant dans la presse que dans les tribunaux, répondre aux nombreux curieux qui m'avaient jadis questionnée, permettre peut-être d'éviter que de tels drames soient à nouveau relatés par leurs victimes et enfin me libérer de cette houle qui, à ce jour, chavire encore chacun de mes trajets vers mon lieu de travail, par peur d'y croiser les mêmes tyrans.
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