Le théâtre de Luigi Pirandello

Ides Calendes - EAN : 9782825803011
Pierre Lepori
Édition papier

EAN : 9782825803011

Paru le : 8 oct. 2020

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  • EAN13 : 9782825803011
  • Réf. éditeur : 741761
  • Collection : LE THEATRE DE
  • Editeur : Ides Calendes
  • Date Parution : 8 oct. 2020
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 123
  • Format : H:191 mm L:121 mm E:10 mm
  • Poids : 134gr
  • Résumé : " Mon travail est comme une fresque de Tiepolo ", clamait Luigi Pirandello en réaction aux mises en scène trop pédantes de ses pièces, " perpétuellement balayé par un vent fantasque ".

    Prix Nobel de littérature en 1934, Luigi Pirandello (1867-1936) n'en reste pas moins un classique méconnu. Par ses quarante-trois pièces, sept romans et deux-cent quarante et une nouvelles – auxquels s'ajoutent sept recueils de poèmes et des essais copieux –, il a déployé une œuvre monumentale et intimidante, qui sema la panique sur les scènes de l'époque avec une déconstruction audacieuse de la comédie bourgeoise.
    Six personnages en quête d'auteur, Ce soir on improvise ou Les Géants de la montagne – des pièces montées par des monstres sacrés comme Ingmar Bergman, le Living Theater ou Giorgio Strehler – ne sont que les arbres qui cachent une forêt obscure, dressée comme une forteresse par un Sicilien athée épris de philosophie. Sa force n'est pas dans l'intelligence mais dans le désespoir, dans une radicalité qui déchiffre sans pitié les contradictions de l'existence.
    Pirandello se disait lui-même balloté " dans un tumulte des pensées et des sentiments, dans lequel quiconque se sentirait chavirer comme dans les spirales tournoyantes d'une tempête ; un vertige à en mourir ou à devenir fou ".
    Son génie indéniable est à la mesure de cette onde de choc, des vagues inconsidérées qu'il provoque à son corps défendant, en essayant de contenir une énergie brute et éprouvante dans une " croûte conceptuelle ", dans une " coagulation douloureuse " : " mon travail est comme une fresque de Tiepolo ", clamait-il en réaction aux mises en scène trop pédantes de ses pièces, " perpétuellement balayé par un vent fantasque ".

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