LE VIEIL HOMME QUI M'A APPRIS LA VIE

Après Les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut (160 000 exemplaires en librairie)

Dans ce monde où règne la religion du moi, Mitchell va apprendre que c'est au contact des autres qu'on s'enrichit et qu'on devient vraiment homme.

Lors d'une visite à ses parents, Mitchell, la quarantaine, retrouve une des figures de son enfance, le vieil Albert Lewis. Le vieil homme lui demande un service : pourrait-il prononcer son éloge funèbre quand viendra le jour de son enterrement ? Mitchell accepte, mais pour cela, il va devoir apprendre à mieux connaître Albert Lewis. Au fil de leurs entretiens, à mesure qu'il découvre la simplicité, la bonté, la joie de vivre et la foi d'Albert, le jeune homme commence à trouver un nouveau sens à la vie. Presque huit ans après leurs retrouvailles, Albert meurt. Il a 90 ans. Tout en prononçant son éloge, Mitchell prend conscience que la faveur demandée par celui qui est devenu son ami était peut-être destinée à sa propre évolution, à lui. Et que grâce à lui il est aujourd'hui un homme plus sage.
Porté par la justesse d'écriture et d'émotion que l'on connaît à Mitch Albom, ce roman est une réflexion sur la vie, sur la foi, la sagesse. Il fait du bien parce qu'il livre à notre réflexion un message d'espoir fondé sur des choses simples qu'on a tendance à oublier.