Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Le Voyage en Afrique - Anthologie - 1790-1890 -nouvelle édition-
EAN : 9782221251324
Paru le : 17 nov. 2020
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782221251324
- Réf. éditeur : 751650
- Editeur : Bouquins
- Date Parution : 17 nov. 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 1088
- Format : H:198 mm L:132 mm E:37 mm
- Poids : 742gr
-
Résumé :
L'exploration de l'Afrique fut l'une des grandes aventures du XIXe siècle. Issue des interrogations qui hantent les cartographes depuis l'Antiquité sur les mystérieuses sources du Nil, ou qui intriguent les voyageurs depuis la Renaissance sur le sens du cours du Niger, son histoire moderne commence avec la création de l'Association africaine à Londres en 1788, et se poursuit jusqu'au partage du continent à la conférence de Berlin (1884). Une nouvelle géographie que le " conquistador " Stanley parachève : il traverse l'Afrique d'ouest en est en 1889 et publie son récit en 1890.
Les explorations de Bruce vers le Nil et de Le Vaillant en Afrique australe suscitèrent un grand intérêt que l'expédition d'Égypte ne fit qu'aviver : une route vers le centre de l'Afrique était peut-être ouverte. Mungo Park le premier décrivit correctement le cours du Niger à la fin du XVIIIe siècle, Caillié alla à Tombouctou en 1828, mais il fallut attendre 1830 pour que le fleuve soit descendu par les frères Lander, dans une aventure fluviale toute picaresque. Des héros flamboyants comme Richard Burton, traducteur des Mille et Une Nuits, cherchèrent les monts de la Lune et les sources du Nil, sans les trouver, alors que des savants efficaces, courageux et modestes comme Heinrich Barth contribuèrent de façon durable à notre connaissance de l'Afrique. Livingstone, pénétré de sa passion anti-esclavagiste, passa plus de vingt ans en Afrique et s'y perdit. Le " scoop " magistral de l'ancien journaliste Stanley le retrouvant à Oujiji et le saluant gauchement d'un banal " Dr Livingstone, I presume... ? " fit la joie des chansonniers pendant des décennies.
L'explorateur n'est pas un voyageur ; il est engagé dans un projet scientifique et politique, mais la passion qui l'anime nous entraîne toujours à sa suite.