Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Léonard de Vinci et l'art de la gravure. Traduction, interprétation et réception
Lienart - EAN : 9782359064353
Édition papier
EAN : 9782359064353
Paru le : 27 juin 2024
39,00 €
36,97 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782359064353
- Réf. éditeur : 329019
- Collection : OUVRAGES THEMAT
- Editeur : Lienart
- Date Parution : 27 juin 2024
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Format : H:270 mm L:231 mm E:28 mm
- Poids : 1.494kg
- Résumé : Rares sont ceux dont l'Histoire a retenu le nom plus de cinq cents ans après leur mort. Léonard de Vinci est de ceux-là. Son visage de vieillard barbu, comme celui de la Joconde, est connu de tous. Pourtant, son oeuvre n'attire des foules démesurées que depuis une époque récente. Avant la fin du XIXe siècle, il serait plus approprié de parler de l'infortune de Léonard. L'enjeu de cet ouvrage consiste à expliciter pourquoi les tableaux de Léonard ont été, entre 1519, année de sa mort, et la fin du XVIIe siècle, méconnus et peu considérés comme des modèles à suivre. La question de l'accessibilité des orignaux de Léonard est convoquée : contrairement à Michel-Ange, avec la chapelle Sixtine, la réputation de l'artiste ne s'adosse pas à un lieu célèbre, dans lequel plusieurs de ses compositions seraient rassemblées. À l'exception de la Cène du couvent Santa Maria delle Grazie de Milan, rares sont ses tableaux à être exposés aux yeux du public : aux XVIe et XVIIe siècles, les oeuvres de Léonard sont pour la plupart détenues par des collectionneurs privés, prestigieux certes (rois de France et d'Angleterre, riches amateurs) mais dont les cabinets sont d'accès restreint. D'autre part, avant le XIXe siècle, les oeuvres du florentin ont été peu traduites en gravure. Curieusement, Léonard a montré peu d'intérêt pour cette technique qui rend possible la reproduction des images et, par-delà, leur diffusion à large échelle. Contrairement à Andrea Mantegna, ou, plus tard, à Raphaël, Léonard n'a pas confié à des graveurs professionnels le soin de traduire certaines de ses compositions. Percer le mystère de cet étonnant constat est l'un des objectifs de cette publication.
- Biographie : Laure Fagnart est maître de recherche du F.R.S.-FNRS à l'université de Liège. Ses travaux portent sur les échanges culturels entre l'Italie, la France et les anciens Pays-Bas de la première Modernité, une question qu'elle appréhende notamment en se concentrant sur la figure de Léonard de Vinci et le rayonnement de son oeuvre. Elle a publié récemment "Léonard de Vinci à la cour de France", Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2019.