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Les arbres en parlent encore
EAN : 9782253067764
Paru le : 10 mars 2004
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- EAN13 : 9782253067764
- Réf. éditeur : 3030392
- Collection : LITTERATURE
- Editeur : LGF
- Date Parution : 10 mars 2004
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 480
- Format : H:178 mm L:110 mm E:22 mm
- Poids : 224gr
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Résumé :
Edène, la narratrice, est née en l’an VI avant la guerre de 1914. Elle est la fille d’Assanga Djuli, un chef de village camerounais, fier et haut comme un baobab. Devenue presque centenaire, elle fait au cours de seize veillées la chronique de ce qu’elle a vu.
Et Dieu sait qu’elle en a vu ! La rencontre heurtée, violente de deux mondes, au cours des colonisations allemande puis française. Les paradoxes d’un pays pris entre son mode de vie ancestral, ses croyances, ses guerres tribales, et l’irruption du xxe siècle européen. Tout cela vécu par de multiples personnages qui hantent sa mémoire : Fondamento de Plaisir, la « sorcière » luxurieuse et hypocrite ; Awono, le guérisseur ; « Chrétien n¡ 1», le premier baptisé du village, qu’elle s’est efforcée de séduire. Et encore Michel-Ange de Montparnasse, un soldat français qui tente la gageure de se fondre dans la communauté en y prenant femme…
Truculente, lyrique, drôle ou révoltée, Calixthe Belaya fait entendre une des voix les plus fortes de la jeune littérature francophone, consacrée avec Les Honneurs perdus par le Grand Prix du roman de l’Académie française. -
Biographie :
Calixthe Beyala est née en 1961 au Cameroun. À dix-sept ans, elle arrive en France et suit des études de lettres et de gestion. En 1987, elle publie son premier roman, C’est le soleil qui m’a brûlée. Elle a depuis obtenu le Grand Prix littéraire de l’Afrique noire pour Maman a un amant, le Grand Prix du roman de l’Académie française pour Les Honneurs perdus et le Grand Prix de l’Unicef pour La Petite Fille du réverbère. Outre sa carrière d’écrivain, elle milite auprès de nombreuses associations pour la reconnaissance des minorités, le développement de la francophonie et la lutte contre le sida. Calixthe Beyala a été faite chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.