Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Les Cahiers de Tinbad 13
Tinbad - EAN : 9791096415496
Édition papier
EAN : 9791096415496
Paru le : 8 nov. 2022
16,00 €
15,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791096415496
- Réf. éditeur : 979109641549
- Collection : TINBAD-REVUE
- Editeur : Tinbad
- Date Parution : 8 nov. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 128
- Format : H:220 mm L:175 mm E:8 mm
- Poids : 246gr
- Résumé : Dans ce 13e numéro, nous prolongeons encore une fois nos réflexions sur la crise largement politique que constitue la Covid-19 ; nous y ajoutons tout un ensemble de réflexions sur le nouveau totalitarisme, numérique : il apparaît de plus en plus qu’un coup d’état numérique, opportuniste, a eu lieu à l’occasion de cette crise totale. Un ensemble de textes de Giorgio Agamben, Guillaume Basquin, Michel Rosenzweig, Michel Weber et Ariane Bilheran développe cette réflexion. Olivier Rachet, quant à lui, s’attaque à la « culture Woke » dans un réjouissant petit pamphlet. Par ailleurs, nous republions un texte méconnu de Bernard Noël sur la catastrophe que constitue le numérique pour la lecture, Le cerveau disponible, ainsi que les Notes en vue d’une psycho-dialectique de René Crevel. Enfin, nous donnons à lire une version intégrale de la préface de Pierre Guglielmina au premier roman de Jack Kerouac, L’océan est mon frère, récemment paru en traduction française chez Gallimard.<br /> A noter que la « politique » fait son apparition dans le sous-titre de la revue, et que le point après « littérature » a été enlevé.