LES CARNETS ROUGES - Tome I

EAN : 9798579648204
ZIMMER FRANCOISE J.
Édition papier

EAN : 9798579648204

Paru le : 12 déc. 2020

22,94 € 19,12 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9798579648204
  • Réf. éditeur : AMAZON
  • Collection : LCR
  • Date Parution : 12 déc. 2020
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : M
  • Nombre de pages : 280
  • Format : H:127 mm L:203 mm E:16 mm
  • Poids : 280gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : LES CARNETS ROUGES – Tome I - Le testament Pedro, son diplôme en poche, est engagé chez un avocat réputé dans l'espoir de s'y faire un nom. Dès son premier jour de travail, il est relégué aux archives. Seule consolation, sa radio par laquelle il apprend le décès d'une célébrité. Pour écouter sa pressante intuition et se rendre aux obsèques, il lui faudrait braver l'interdiction de son patron. Que va-t-il décider ? Qui est ce jeune homme et quelle va être sa destinée ? « LES CARNETS ROUGES » Un roman initiatique qui se lit sans voir le temps passer.
  • Biographie : Une biographie est toujours une mise à nu. Il faut se déshabiller très vite et personnellement, je trouve que c’est violent. Alors que dire ? Un peu et donc pas assez ou beaucoup au risque de lasser ? Je m’appelle donc Françoise Zimmer et pour éviter des confusions homonymes, j’y ai adjoint le J de mon deuxième prénom. Cela donne donc Françoise J. Zimmer. Je suis née le 13 février 1960 à Arlon, dans le Sud de la Belgique. Le jour de ma naissance, dans le désert du Sahara, la France procédait à un essai nucléaire, l’opération « Gerboise bleue ». Il faut croire que les retombées ont touché quelque chose chez moi car la Nature et son respect sont et ont toujours été au centre de mes préoccupations. Issue d’une famille d’enseignants, il était presque logique que je m’y destine. J’aimais avec un égal bonheur tout ce qui touchait au français et aux sciences. Les sciences l’ont emporté. Lorsque j’ai obtenu mon régendat en sciences-géographie en 1980, le chômage frappait durement une quantité de métiers. Pourtant, comme l’État recrutait encore, je suis donc entrée à l’administration, y ai passé les examens de carrière et avalé des milliers de pages concernant la fiscalité et le droit civil. Les années passaient entre travail et maison. Trois enfants, un mari, une vie sur les chapeaux de roues. Le lot quotidien de millions de gens. Mais peu après mes vingt-quatre ans, un événement majeur avait eu lieu, un événement dont je n’avais pas mesuré les conséquences sur mon existence : le décès de ma grand-mère paternelle. L’affection qui nous liait était telle que son départ avait laissé un grand vide dans mon cœur. Il avait également ouvert une voie : celle de la recherche spirituelle et du sens profond à donner à son existence terrestre. Tout d’abord, il me fallait obtenir une réponse à cette grande question : « Existe-t-il quelque chose après la mort ? » Cette quête m’a fait découvrir tout un monde dont je n’imaginais pas l’existence et en même temps, cela a fait sourciller ma famille. Eh oui, mes trouvailles me bouleversaient au point de me modifier en profondeur : Françoise devenait « spéciale ». Chemin faisant, je me suis initiée à la communication intuitive, au channeling, à la méditation, à l’astrologie, au Yi King, aux tarots, au Reiki, au magnétisme, aux voyages astraux, à l’herboristerie, à la sophrologie. L’ensemble de mes études m’a ouvert des portes donnant sur des mondes initiatiques. En 2004, j’ai écrit « Quand fleurit le lotus – dialogues avec la Source ». Publié pour la première fois en 2019, soit quinze ans plus tard, cet essai a ouvert la voie au partage d’expériences et de connaissances. J’osais enfin réaliser un rêve : celui de partager avec d’autres. Parallèlement à mon activité de fonctionnaire, j’ai créé en 2021, en pleine crise du covid, une petite entreprise de développement personnel : « Essor et conscience ». Le but étant d’aider les gens à se sentir bien dans leur vie, surtout à un moment aussi crucial. Oui mais… pour se sentir bien, il faut aussi savoir rire. Cultiver l’autodérision « à la belge » tout en étant sérieux dans le fond. Et là, ce n’est pas un scoop, en Belgique, on est servis ! Une idée est alors venue ébranler ma petite cervelle : et si j’écrivais des romans initiatiques ? Je pourrais mettre des personnages en scène, parfois de très sérieux, d’autres fois des plus marrants. Mais toujours avec une trame de fond à connotation spirituelle tournant autour du sens à donner à sa vie. Et c’est parti mon kiki ! J’ai créé Pedro. Un jeune homme abandonné à la naissance, jamais adopté, et qui est tout de même parvenu à faire des études pour entrer dans la vie professionnelle en tant qu’avocat chez Maître Licorne. Très vite, Pedro pose des choix car telle est la vie, n’est-ce pas. Et naturellement les choix ont toujours des conséquences… pour Pedro, cela va l’amener à être mêlé à l’histoire des Carnets Rouges. Les fameux carnets dans lesquels Andreas Ladimov a consigné son testament… L’histoire attachante de Pedro est comme un Tintin d’un genre nouveau. Elle s’adresse aux lecteurs de 9 à 99 ans et peut se lire à différents niveaux. De la simple aventure au parcours initiatique. « Les carnets rouges » n’a pas dit son dernier mot. Ce que je peux encore vous dire, c’est que Pedro est d’abord apparu dans une autre histoire, celle de Shirine, une jeune et virtuose violoncelliste qui rêve de diriger un orchestre. L’essence de son parcours à elle, c’est de pouvoir trouver le moyen de surmonter l’adversité car là aussi, c’est la vie, n’est-ce pas. On est tous confronté à des couacs, petits ou grands… « La vie en couleurs » est un roman sur le thème de la résilience et Pedro y fait sa première apparition alors que Shirine se débat avec de vieux fantômes… Bien sûr, le tout n’est pas seulement d’écrire, il faut pouvoir publier et être lu. Trouver un éditeur est comme une espèce de Graal ou de montée en apnée vers l’Everest. J’ai alors découvert qu’Amazon proposait une plateforme pour les auteurs « auto-édités ». Que faire ? M’y lancer et céder à d’intimes compromis ? Rester anonyme et attendre un miracle ? Je me suis décidée pour Amazon. Peu à peu, j’y vois plus clair dans la jungle de l’édition. Vous l’avez lu : ce n’était pas ma vocation première et j’ai encore beaucoup à apprendre. Les libraires, les bibliothèques peuvent se procurer mes livres sur des plateformes dédiées aux professionnels. Si c’est votre cas, sachez que votre marge provient directement de la diminution de la mienne et que c’est très bien comme cela. Tout le monde travaille à faire connaître les livres, il est donc normal que chacun en reçoive quelque chose. Mais Amazon fait grincer des dents et je comprends cela aisément : à chacun sa sensibilité, son approche. Il faut de tout pour faire un monde et c’est très bien également. Si c’est votre cas, alors venez directement vers moi par le biais de mon site « Je lis et je m’envole ». Ce sera un peu plus long comme manière de procéder, je commanderai les livres pour vous et nous devrons rédiger un contrat de manière très claire. Dans tous les cas, le but sera d’établir une relation de confiance, de gentillesse et de bonne volonté. Parmi vous, il y a des personnes rompues au business, au monde des affaires et qui doivent sourire en voyant que la spiritualité est mise à toutes les sauces aujourd’hui. Et en effet, vous avez raison. C’est d’ailleurs ce qui m’a très longtemps freinée. J’estimais que la gratuité allait de pair avec la spiritualité. Il m’a fallu travailler sur cet état de choses et alchimiser ce concept. Dans « Quand fleurit le lotus » lorsque je posais la question à la Source, celle-ci m’avait répondu en substance que « toute joie mérite salaire ». Cher visiteur, c’est donc joyeusement que je partagerai mon salaire avec vous ! Voilà qui clôture cette mise à nu. Je vous l’avais dit dès le départ, se dévoiler prend un certain temps et ce temps est nécessaire à l’apprivoisement.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.