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Les cent-huit marches: 108 haïkuphènes, poèmes trilingues en haïkus libres (Fr-En-Japonais)
Non Agir - EAN : 9791092475487
Édition papier
EAN : 9791092475487
Paru le : 4 sept. 2017
9,60 €
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- EAN13 : 9791092475487
- Réf. éditeur : 4473525
- Collection : LITTERATURE-POE
- Editeur : Non Agir
- Date Parution : 4 sept. 2017
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 128
- Format : H:120 mm L:190 mm E:7 mm
- Poids : 132gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Bernard Bador : les cent huit marches, poèmes trilingues en haïkus libres. Avec cinq oeuvres originales de Matsutani. Préface de Jean Orizet de l'académie Mallarmé. Echappée taoïste ou titillations zen ? Bernard Bador, artiste multiforme, aède migrateur, nous livre 108 perles de poésie inspirée du haïku, acides, amères ou sucrées selon l’humeur ou l’humour, enfilées comme des colliers de petits bonbons craquants pour le plaisir des cinq sens et l’abandon progressif de celui, somme toute très superflu, des réalités. Les poèmes sont rendus en français, anglais et japonais grâce à la traduction sous forme de tanka par le professeur Makiko Fujiwara. Ils sont accompagnés de cinq œuvres originales offertes à l’auteur par l'immense artiste japonais Takesada Matsutani (dont l'illustration de couverture). 128 pages, format 120 x 190 Sur l'oeuvre de Bernard Bador : « Le poète n’oublie jamais qu’il est aussi peintre et calligraphe... Bernard Bador est à mes yeux, le plus zen et le plus baroque des poètes français contemporains... J’ajoute, en conclusion, qu’il respecte trop la poésie pour la prendre au sérieux à l’excès ; Tel est le sage. » Jean Orizet "The latterday surrealist Bernard Bador, with a teeming vocabulary that his translator (Clayton Eshleman again) likens to a 'bric à brac or flea market finds,' seems intent on stirring up all the sunken fears and revulsions that encrusts the roots of consciousness... Where the earlier Surrealists occasionally saw hope for new beginnings in unleashing the unconscious, Bador merely registers the onslaught of an utterly impersonal apocalypse." Geoffrey O'Brien, Village Voice (1986), on Sea Urchin Harakiri "Bernard Bador is an extraordinary poet whose dark verbal metaphors back up his visual image flux." Clayton Eshleman, poet, essayist & translator