Les cinq à sept de Fernand Doucin

Plon - EAN : 9782259198691
Jean Dutourd
Édition papier

EAN : 9782259198691

Paru le : 7 mai 2003

15,30 € 14,50 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782259198691
  • Réf. éditeur : 308679
  • Editeur : Plon
  • Date Parution : 7 mai 2003
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 181
  • Format : H:202 mm L:132 mm E:17 mm
  • Poids : 197gr
  • Résumé :

    En la personne de Fernand Doucin, Jean Dutourd a donné un petit-neveu au chevalier des Grieux, à Frédéric Moreau, à René.

    Fernand Doucin, employé de banque, se réveille tous les matins à cinq heures. Il se rendort à six heures. Pendant une heure, donc, il souffre de cette insomnie de l'aube qui est si désagréable.
    A quoi pense Fernand Doucin, entre cinq et six heures du matin, pendant trois cent soixante-cinq jours par an?
    Sa préoccupation majeure, c'est évidemment de se rendormir. Mais le sommeil est difficile à rattraper. Le premier intérêt de ce livre est de donner beaucoup de recettes pour s'endormir. La plupart sont inédites et d'une efficacité éprouvée.
    Ensuite le lecteur pourra trouver curieuses et même pittoresques les pensées d'aube de Fernand Doucin. Celui-ci ne craint ni les grands ni les petits sujets; il traite avec une égale abondance de l'abus du tabac, des méfaits de la choucroute, de la facture du tailleur, de la mort, de l'âme, du Diable, de Dieu, d'une maîtresse à quitter, d'une autre à conquérir. Ce sont là en effet ses principaux soucis et il est naturel qu'ils viennent l'assaillir pendant ses insomnies.
    Ce livre est bien davantage le tableau d'une certaine sensibilité qu'une étude sociologique. Après tout, pourquoi la littérature d'aujourd'hui ne s'occuperait-elle pas de sensibilité comme il y a cent cinquante ans? C'était si amusant.

    La grande ambition de l'auteur serait d'avoir donné en la personne de Fernand Doucin un modeste petit-neveu au chevalier des Grieux, à Frédéric Moreau, à René.

    Du reste, pour parodier un mot célèbre : l'employé de banque, c'est l'aventurier du monde moderne.

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.