Les Copines

Glenat - EAN : 9782723477970
Jean-Marc Reiser
Édition papier

EAN : 9782723477970

Paru le : 7 juil. 2010

12,75 € 12,09 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782723477970
  • Réf. éditeur : 7437262
  • Collection : HUMOUR
  • Editeur : Glenat
  • Date Parution : 7 juil. 2010
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 72
  • Format : H:270 mm L:210 mm E:8 mm
  • Poids : 314gr
  • Résumé :

    Reiser, chantre de la femme moderne.

    Redécouvrez Les Copines, un florilège de dessins parus dans le journal bête et méchant « Hara-Kiri » dans les années 70. Où une nouvelle fois Reiser glorifie les femmes, éternelles muses de ce maître de l’humour vrai. Mais où a-t-il eu l’occasion d’observer si finement les représentantes du beau sexe pour en tirer des dialogues aussi savoureux, des dessins aussi réjouissants ? Contrairement à beaucoup de ses contemporains, Reiser n’était pas un misogyne, et propose même ici un regard à la fois très caustique et très féminin sur le couple, les mecs, le sexe...
    Vulgaire, Reiser ? Jamais ! Pas plus que des copines quand elles parlent entre elles...

  • Biographie :

    Génie de la bande dessinée et du dessin de presse, le trait de Reiser fit mouche dans un grand nombre de revues, pour la plupart contestataires et anticonformistes (Hara-Kiri, Charlie Hebdo, Pilote, La Gueule Ouverte, Charlie Mensuel, Métal Hurlant, L'Écho des savanes...). Reiser croquait les gens ordinaires avec un humour très cru pour l'époque, et souvent avec un mauvais goût assumé, sans jamais s'autocensurer et en riant aussi bien de la misère que de la mort, mais surtout, d'abord et avant tout, de la connerie humaine. Il a reçu le Grand Prix de la Ville d'Angoulême en 1978 pour l'ensemble de son œuvre. Il a disparu prématurément en 1983.

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.