Les dépersonnalisations onirismes au delà des douleurs réflexives

EAN : 9782414288021

Clément Velluet

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Édition papier

EAN : 9782414288021

Paru le : 23 oct. 2018

10,00 € 9,48 €

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Détails

EAN13 : 9782414288021
Réf. éditeur : 945157
Date Parution : 23 oct. 2018
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 86
Format : H:204 mm L:134 mm E:7 mm
Poids : 114gr
Interdit de retour : Retour interdit

Résumé

Résumé : Cet ouvrage représente une longue introspection, un long cheminement intellectuel, où l’esthétique de l’écriture est le fruit d’une concrétion de la langue par des échos où la métaphore est reine. Ce recueil est polymorphique et traite de psychologie, de maladies mentales, mais aussi de théories scientifiques et de poésies, inscrites dans une temporalité des matières chrysalides où des copulations d’être déciment des trajectoires, des équilibres énergétiques où les textes recueillis, éprouvés, dans des danses, reflètent des applications murmurées des corps musicaux, des synaptiques cristallisations, par des invariances de peaux sculptées, des matérialisations ontiques, des doigts transparences, ou des vacuités substantielles, se réfléchissent dans des cicatrices de l’âme, d’yeux invisibles, encres thymiques… Il est une conductibilité des abeilles polyglottes, des écritures automatismes, où rêvent, pleuvent, ruissellent, des parfums extrasensoriels, ô visages des herméneutiques, où les anatomiques potentialités, protectionnistes, se découvrent des âmes végétatives, ô sentiments des cérébralités osseuses.
Biographie : « Je m’appelle Clément Velluet, j’ai trente-deux ans, et l’écriture est ma passion. Je suis comme un savant de l’écriture où ma stylistique est alcôve des pluralités topologiques, où les discriminants de ma pensée sont absolus. Il s’agit d’une captation identitaire, incarnée, des voyances transcendantales, des rythmiques où les schèmes de mon art sont des équilibres plastiques, des transformations eidétiques, d’une chair éclatée, comme des tubulures accidentelles, contingences des prédéterminismes, aux incantations du chaos, des fruits magnétiques, ô ruptures des pains prostitutions, ô voyelles des acoustiques littéralités, des personnifications totémiques, flagelles des soleils, où je ris comme des chairs par des viscosités de pluie germant, les pachydermes poétiques… Ô degrés des accouplements, où je crée du silence et des mortifications imaginaires, ô végétatifs soleils, des stigmates abstinences, ô hydres à genoux, sous les caprices de mon silence artériel, symbiotiques, les perturbations, des libellules politologues… Je ne travaille point actuellement. Je suis un pur autodidacte, me nourrissant de matières et d’antimatières, ô clonages suspendus des liquides, les mécanistes distances, où mon style est épileptique transcendance et radiation, des pâmoisons pointillismes, aux cellulaires polarités, des fragrances émotionnelles… »