Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Les derniers jours de Pompéi
Homme Et Litt - EAN : 9782381118772
Édition papier
EAN : 9782381118772
Paru le : 1 févr. 2024
13,50 €
12,80 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782381118772
- Editeur : Homme Et Litt
- Date Parution : 1 févr. 2024
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 128
- Format : H:133 mm L:203 mm E:11 mm
- Poids : 170gr
-
Résumé :
Ce livre rassemble des récits historiques sur Pompéi, cette ville étrange qui renaît au jour après avoir été ensevelie dix-huit siècles sous la terre et les cendres dont la couvrit le Vésuve dans sa terrible éruption de l’année 79.
Après la découverte par hasard des restes d’Herculanum cachés sous la lave, Charles III, qui était alors roi de Naples, avant d’aller occuper le trône d’Espagne, fit commencer les fouilles en 1748. Mais, bien qu’elles eussent été couronnées d’un plein succès, ces fouilles furent bientôt abandonnées. Elles étaient trop difficiles et trop coûteuses, car Herculanum gît sous un bloc durci de lave de soixante pieds d’épaisseur. L’ancienne Pompéi, au contraire, n’est recouverte que par une couche de cendres et de terre qui n’a pas plus de quinze à vingt pieds, et qui n’offre à la pioche aucune résistance. Ce fut donc sur Pompéi que se tournèrent tous les efforts...
On arrive à Pompéi par une plaine fertile, bien cultivée, qui n’indique aucun désastre, aucune catastrophe ; car, sur toute la couche qui recouvre et enferme les débris de cette ville, s’étendent de beaux champs de blé et de maïs traversés par des allées d’oliviers où pendent, d’un arbre à l’autre, des festons de pampres et de raisins. Le premier édifice, si l’on peut employer ce mot, que rencontre le voyageur en arrivant à Pompéi, c’est l’amphithéâtre, ou local destiné aux spectacles en plein air, les combats de gladiateurs, les chasses, les naumachies, etc. Cet amphithéâtre n’est ni vaste ni riche. Pouvant tout au plus contenir douze à quinze mille personnes, il est simplement creusé dans la terre, et ses gradins de pierre sont appuyés sur un talus de gazon. Quand on a vu le Colysée de Rome, ce gigantesque monument où cent mille spectateurs, introduits par d’innombrables vomitoires, pouvaient s’asseoir autour de l’arène sur des gradins adossés à quatre étages de portiques, on comprend, à l’aspect de son humble amphithéâtre, que Pompéi n’était qu’une petite ville, une vraie bourgade, où nous logerions à peine une sous-préfecture...