Les mémoires du diable

Bouquins - EAN : 9782221095454
Frédéric Soulie
Édition papier

EAN : 9782221095454

Paru le : 13 févr. 2003

26,30 € 24,93 €
Epuisé
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  • EAN13 : 9782221095454
  • Réf. éditeur : 305497
  • Editeur : Bouquins
  • Date Parution : 13 févr. 2003
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 870
  • Format : H:199 mm L:132 mm E:32 mm
  • Poids : 580gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé :

    De son vivant, Frédéric Soulié (1800-1847) fut aussi célèbre que Balzac, Dumas et Eugène Sue. Au moment de sa mort prématurée, Victor Hugo célébra la générosité de son engagement et la splendeur de sa réussite.
    Monté à Paris du comté de Foix à vingt ans, Soulié rêva de se faire un nom comme poète romantique (Amours françaises, 1824) et comme dramaturge (Roméo et Juliette, 1828). C'est Dumas qui lui ouvrit la porte des journaux dans les années 1830. La Mode, Le Voleur, Le Magazine littéraire, Le Musée des familles le comptent parmi leurs collaborateurs.
    En 1832, il publia un roman noir, Les Deux Cadavres, qui rappelle ses sympathies pour les carbonari. Tout en poursuivant une carrière théâtrale jalonnée de succès retentissants (Clotilde, 1832, Diane de Chivry, 1839, La Closerie des genêts, 1846), Soulié devint l'un des spécialistes les plus recherchés du roman-feuilleton. Les premières parties de ses Mémoires du Diable parurent en 1837, excitant la jalousie de Balzac, qui répliqua par Splendeurs et Misères des courtisanes.
    Tout comme Faust, le baron François-Armand de Luizzi vend son âme au diable contre la satisfaction de tous ses désirs. Il n'échappera à la damnation qu'à condition de se prouver qu'il a connu le bonheur. Courant d'une aventure à l'autre, le baron Luizzi connaîtra les lieux et les milieux les plus variés et les plus pittoresques. Se proposant de faire un tableau des "hideurs de la société", Soulié multiplie les scènes d'enlèvement, de viol, d'inceste, d'adultère. Le diable, metteur en scène cynique, commente froidement tous les épisodes. Cette ironie, plus encore que son côté "comédie de moeurs", confère au roman une étonnante modernité.

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