Les mémoires du Diable - Tome I

EAN : 9791041914012
SOULIE FREDERIC
Édition papier

EAN : 9791041914012

Paru le : 20 janv. 2023

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  • EAN13 : 9791041914012
  • Réf. éditeur : 262293
  • Date Parution : 20 janv. 2023
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 600
  • Format : H:220 mm L:170 mm E:32 mm
  • Poids : 920gr
  • Résumé : Il se passe d'étranges choses au château de Ronquerolles. Le baron Armand de Luizzi s'y rend à la mort de son père. À 2 heures du matin, il reçoit la visite du Diable. Ce dernier accepte qu'Armand publie ses histoires mais à chaque fois qu'il lui exprimera un désir, il devra lui donner en échange une des pièces que contient une bourse correspondant à un mois de sa vie. Seul le fait de trouver le bonheur le délivrera de sa servitud'Au Diable... Tableau machiavélique et philosophique de cette fin du XVIIIe siècle.
  • Biographie : Melchior Frédéric Soulié est un romancier, auteur dramatique, critique et journaliste français né à Foix le 23 décembre 1800 et mort à Bièvres le 23 septembre 1847. Il est, avec Honoré de Balzac, Eugène Sue et Alexandre Dumas, l'un des quatre grands feuilletonistes de la monarchie de Juillet. Fécond, très populaire à l'époque, il est l'auteur des grands succès que furent Les Mémoires du Diable et, au théâtre, La Closerie des genêts. Il est presque oublié aujourd'hui. Melchior-Frédéric Soulié naquit à Foix le 23 décembre 1800. Sa naissance rendit sa mère infirme. Son père, François Melchior Soulié, après avoir professé la philosophie à l'université de Toulouse, s'était enrôlé en 1792 et il était parvenu au grade d'adjudant-général2, lorsqu'il fut forcé d'abandonner le service militaire pour cause de maladie. Il était alors entré dans l'administration des finances comme employé des contributions. Frédéric demeura avec sa mère à Mirepoix jusqu'à l'âge de quatre ans. Son père le prit ensuite avec lui en 1804. Frédéric suivit son père lorsqu'il fut muté à Nantes en 1808, puis à Poitiers en 1815 où Frédéric termina ses études secondaires. Son père fut alors destitué comme partisan de Napoléon. Il se rendit à Paris ; Frédéric l'y accompagna et suivit les cours de l'école de droit. Expulsé pour avoir signé des pétitions libérales et pris une part active à la révolte contre le doyen, il fut expédié avec plusieurs de ses camarades à l'École de Rennes où ils terminèrent leur droit sous la surveillance de la police. Il avait été accusé de carbonarisme. Son droit fini, il rejoignit son père à Laval, où celui-ci avait été réintégré dans son emploi. Il travailla d'abord avec son père puis entra lui-même dans l'administration. En 1824, son père ayant été mis à la retraite pour avoir mal voté aux élections, Frédéric démissionna de l'administration.
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