Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Les rebouteux du Morbihan en 1900
Batigne - EAN : 9791090887503
Édition papier
EAN : 9791090887503
Paru le : 21 sept. 2016
7,50 €
7,11 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791090887503
- Editeur : Batigne
- Date Parution : 21 sept. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Nombre de pages : 68
- Format : H:150 mm L:100 mm E:5 mm
- Poids : 55gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Au début du XXe siècle, rebouteux et guérisseurs sont encore des personnages indispensables dans les campagnes morbihannaises, où les médecins sont peu nombreux et leurs tarifs trop élevés pour la plupart des bourses.
Détenteurs de savoirs mystérieux, parfois consignés dans des grimoires familiaux, ces praticiens empiriques replacent les articulations démises, réduisent les fractures, soignent maux de ventre et maux de tête, traitent les enfants comme les anciens... pour quelques sous.
L’écrivain Charles Géniaux (1870-1931), grand connaisseur des coutumes et des traditions rurales de Bretagne, livre ici un récit passionnant sur les rebouteux du Morbihan et leurs pratiques. Un récit (tiré de La vieille France qui s’en va et de La Bretagne vivante) qui dresse aussi un portrait savoureux de la campagne morbihannaise vers 1900. -
Biographie :
Romancier et photographe né à Rennes en 1870, Charles Géniaux s’intéresse très tôt aux traditions populaires de sa région natale, qu’il parcourt régulièrement en quête d’histoires à raconter, de personnages à rencontrer (comme Naïa, la sorcière de Rochefort-en-Terre), de modes de vie à documenter.
Auteur de La Vieille France qui s’en va, de La Bretagne vivante et de nombreux romans ayant pour cadre la Bretagne (comme Les âmes en peine), il se passionne aussi pour l’Orient et écrit plusieurs ouvrages inspirés par ses séjours en Afrique du Nord. Proche des indépendantistes tunisiens et du mouvement féministe, se disant volontiers «anarchiste conservateur», il suit un parcours original pour son époque et meurt à Nice en 1931.
En 1917, l’Académie française lui décerne son Grand prix du roman pour l’ensemble de son œuvre.