Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Les sautes d'humour de Mozart père et fils
Payot - EAN : 9782228933353
Édition papier
EAN : 9782228933353
Paru le : 3 mai 2023
15,00 €
14,22 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782228933353
- Réf. éditeur : 260741
- Collection : LES SAUTES D'HU
- Editeur : Payot
- Date Parution : 3 mai 2023
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 160
- Format : H:194 mm L:120 mm E:13 mm
- Poids : 164gr
- Résumé : On parle toujours de l'abondante correspondance de Wolfgang Amadeus Mozart en oubliant celle de Leopold, ce père si important dans l'épanouissement de son talent. On parle toujours des plaisanteries scatologiques du fils en oubliant son véritable humour, celui d'un artiste très conscient de sa supériorité : il l'exerçait pour peindre la société de son temps (aristocrates, musiciens, élèves...) ou pour décrire les inconvénients des voyages, comme le faisait aussi Leopold. Ce sont là autant de sautes d'humour vachardes sur les ridicules du XVIIIe siècle. Elles se savourent comme un opéra bouffe et nous offrent une approche biographique originale sur un génie qui n'a pas fini de nous étonner.
- Biographie : Né à Paris de parents italiens, Mario Pasa mène une carrière d'éditeur en charge de récits de voyage, de témoignages historiques et de textes humoristiques. Il a entrepris en parallèle la rédaction de ce troisième roman. Les deux précédents ont paru chez Denoël :« Le Cabinet des merveilles» en 1995 (finaliste de plusieurs prix, dont le Goncourt du premier roman) et «Une heure à tuer» en 1998.