Les soixante-quinze feuillets

Gallimard - EAN : 9782072931710
PROUST/TADIE
Édition papier

EAN : 9782072931710

Paru le : 1 avr. 2021

21,00 € 19,91 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782072931710
  • Réf. éditeur : G05125
  • Collection : BLANCHE
  • Editeur : Gallimard
  • Date Parution : 1 avr. 2021
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 384
  • Format : H:215 mm L:165 mm E:25 mm
  • Poids : 482gr
  • Résumé : Graal proustien, les "soixante-quinze feuillets" de très grand format étaient devenus légendaires. La seule trace qui en existait était l'allusion qu'y faisait Bernard de Fallois, en 1954, dans la préface du Contre Sainte-Beuve. En 1962, ils n'avaient pas rejoint la Bibliothèque nationale avec le reste des manuscrits de l'auteur de Swann. Leur réapparition en 2018 à la mort de Bernard de Fallois, après plus d'un demi-siècle de vaines recherches, est un coup de tonnerre.Car les insaisissables "soixante-quinze feuillets" de 1908 sont une pièce essentielle du puzzle. Bien antérieurs au Contre Sainte-Beuve, ils ne font pas que nous livrer la plus ancienne version d'À la recherche du temps perdu. Par les clés de lecture que l'écrivain y a comme oubliées, ils donnent accès à la crypte proustienne primitive. "Un livre est un grand cimetière où sur la plupart des tombes on ne peut plus lire les noms effacés", lit-on dans Le Temps retrouvé : mais ici, le temps n'a pas encore effacé tous les noms.
  • Biographie : Écrivain né et mort à Paris (1871-1922). Fréquente assidûment les milieux mondains et les salons littéraires de son temps. Adopte les conceptions esthétiques de Ruskin qu'il traduit. À la mort de sa mère, en 1905, s'isole de plus en plus dans sa chambre, luttant contre des crises d'asthme, pour parachever jusqu'au dernier instant son oeuvre majeure, dont plus d'un tiers sera posthume.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.