Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Les yeux de l'âme
Gallimard - EAN : 9782070129409
Édition papier
EAN : 9782070129409
Paru le : 7 mai 2010
19,30 €
18,29 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782070129409
- Réf. éditeur : A12940
- Collection : CONNAISSANCE DE
- Editeur : Gallimard
- Date Parution : 7 mai 2010
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 288
- Format : H:185 mm L:120 mm E:20 mm
- Poids : 220gr
- Résumé : Hamlet : J'aurais mieux aimé rencontrer mon pire ennemi au Ciel, Horatio, que de vivre un pareil jour... Mon père ! il me semble que je vois mon père.Horatio : Où, monseigneur ? Hamlet : Avec les yeux de l'âme, Horatio. Le discours de la tragédie est précieux pour comprendre le destin auquel la cure analytique contraint la parole de l'analysant. Celui-ci parle d'abord "de quelque chose" puis, comme la fée de Cendrillon fait d'un potiron et de quatre rats un carrosse et un attelage, le transfert détourne sa parole de cette fonction référentielle, la transforme en un chemin ou en un "véhicule" (ainsi que le shivaïsme désigne la monture sacrée permettant aux dieux de commercer avec les vivants), un chemin qui le conduit sur des terres psychiques inconnues de lui, lui fait rencontrer des images : certaines viennent d'un passé si lointain, si effacé du souvenir qu'elles ne lui sont nullement familières ; d'autres sont d'une époque plus récente et heureuse. Certaines relèvent du fantastique ; d'autres de la banalité. Certaines sont marquées d'effroi ou de douleur ; d'autres revêtent l'habit déceptif des objets aimés quoique perdus.