Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Lettres à Albert Paraz
Gallimard - EAN : 9782070122448
Édition papier
EAN : 9782070122448
Paru le : 25 mai 2009
37,10 €
35,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782070122448
- Réf. éditeur : A12244
- Collection : LES CAHIERS DE
- Editeur : Gallimard
- Date Parution : 25 mai 2009
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 560
- Format : H:205 mm L:140 mm E:30 mm
- Poids : 530gr
- Résumé : "À partir de mars 1947, ayant quitté la prison pour l'hôpital de Copenhague, Céline peut écrire librement. Son activité épistolaire se développe alors considérablement, avec ses anciens amis restés en France et avec de nouveaux venus qui se manifestent à lui. C'est le cas de l'écrivain Albert Paraz (1899-1957) qui entame sa correspondance avec l'exilé en juin 1947. Elle durera dix ans et compte 353 lettres. Ce qui en fait l'une des plus étendues après celle que Céline entretient avec sa secrétaire Marie Canavaggia depuis 1936. Cependant elle présente un caractère qui la distingue de toutes les autres : Paraz a l'idée, acceptée avec réserves puis contrôlée par son correspondant, de mêler les lettres qu'il reçoit du Danemark à ses écrits autobiographiques, Le Gala des vaches (1948) et Valsez, saucisses (1950) - ce qui fait de lui le premier éditeur d'une correspondance de Céline." Jean Paul Louis.
- Biographie : Né en 1894 à Courbevoie, près de Paris, Louis-Ferdinand Céline (pseudonyme de L.-F. Destouches) prépare seul son baccalauréat tout en travaillant. Engagé en 1912, il est gravement blessé en novembre 1914. Invalide à 75 % et réformé, il devient agent commercial et part au Cameroun (1916), puis à Londres (1917). Après la Victoire, il fait des études de médecine, puis accomplit des missions en Afrique et aux États-Unis pour le compte de la Société des Nations. De retour en France, il exerce la médecine dans la banlieue parisienne et publie en 1932 son premier ouvrage Voyage au bout de la nuit, suivi, en 1936, de Mort à crédit. De 1944 à 1951, Céline, exilé, vit en Allemagne et au Danemark. Revenu en France, il s'installe à Meudon où il poursuit son oeuvre (D'un château l'autre, Nord, Rigodon) et continue à soigner essentiellement les pauvres. Il meurt en 1961.