Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Lettres du Bosphore - Prix France-Turquie 2017
EAN : 9782368908044
Paru le : 26 nov. 2020
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782368908044
- Réf. éditeur : 748053
- Collection : PASSEUR POCHE
- Editeur : Le Passeur
- Date Parution : 26 nov. 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 284
- Format : H:181 mm L:110 mm E:15 mm
- Poids : 157gr
-
Résumé :
Une invitation à la rencontre des Stambouliotes d'aujourd'hui qui montrent que la vie continue de manière acharnée malgré le virage inquiétant que semble prendre la Turquie.
Au regard de l'actualité, la Turquie semble entrer dans une longue nuit. Pourtant Istanbul résiste et survit, phare dans le pays qui sombre. Sébastien de Courtois y réside depuis sept ans et raconte la vie quoti dienne des Stambouliotes qu'il côtoie. Ainsi, l'auteur déambule dans les dédales de ruelles des vieux quartiers de Beyoglu face aux côtes d'Asie, fait escale dans les nombreuses meyhane (maisons de vin) bruyantes et enfumées, parcourt la rue des luthiers qui descend depuis le couvent des derviches tourneurs jusqu'à la Corne d'or, ou aime à grimper vers un café sur les hauteurs d'où l'on peut s'extraire de la frénésie de la ville. Partout, le même constat : Istanbul est un endroit où l'on sait boire, où les restaurants ne désemplissent pas, où la musique jaillit partout, et où la vie continue de manière acharnée quoiqu'il arrive.
Ces chroniques de la vie quotidienne, sensibles, emplies de chaleur et d'humanité, à la rencontre des habitants de l'ancienne Constantinople, sont loin du prisme forcément parcellaire et du marasme décrits par les médias français.