Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Libre comme une maison en flammes oeuvre poétique 1935-1976
EAN : 9782749103198
Paru le : 2 déc. 2004
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782749103198
- Réf. éditeur : 348963
- Collection : AMOR FATI
- Editeur : Cherche Midi
- Date Parution : 2 déc. 2004
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 510
- Format : H:222 mm L:153 mm E:35 mm
- Poids : 573gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Le poète de Montauban disparu en 1976 chante l'amour, la fraternité et la nature. Il est mort à Penne-de-Tarn (" Mon Pays préféré est cette gorge de montagne "). Son lyrisme d'amour, lui-même, s'épanouit en un accord cosmique. Comme chez les troubadours, son rapport à l'aimée est de respect et de fidélité ; la femme désirée figure la terre nourricière, tandis qu'un être neuf va naître du couple accompli. Prose poétique, vers libre ou verset se partagent son œuvre. Parfois le verset se fait un peu solennel, comme à l'évocation des Parfaits de Montségur (Le Château cathare, 1972). Ses débuts furent influencés par le surréalisme. Comme Éluard, il n'a jamais dissocié le vivre de l'écrire. Instituteur à Marseille où il collabora aux Cahiers du Sud et fonda la revue Sud, après avoir créé la revue Action poétique, il se gardait du factice et des arrogances intellectuelles. Il y avait en lui de la naïveté, une bonté indéracinable. Pour Malrieu, " les choses simples " étaient " heureuses ". Il a parlé des gens démunis, de sa mère, avec un ton d'évidence, une économie de sensibilité peu fréquents. " Un homme est toujours sauvé par sa vie ", a-t-il écrit. Il ajustait un souci de moralisme à l'exigence de liberté. Son bon sens précisait : " Malheur à qui ne mêle point de terre à son amour ".