Litanies de la Sainte Vierge

Symetrie - EAN : 9790231807950
MASSENET JULES
Édition papier

EAN : 9790231807950

Paru le : 1 nov. 2015

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  • EAN13 : 9790231807950
  • Réf. éditeur : SYM-0795-0
  • Editeur : Symetrie
  • Date Parution : 1 nov. 2015
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 8
  • Format : H:297 mm L:210 mm E:2 mm
  • Poids : 55gr
  • Résumé : Connu avant tout pour ses opéras, comme Manon (1884) ou Werther (1892), Jules Massenet (1842-1912) laisse aussi des suites d’orchestres et une abondante production vocale et chorale dominée par de nombreuses mélodies, quelques pièces religieuses isolées (Souvenez-vous, Vierge Marie ! (Prière de Saint Bernard), 1881 ; Ave Maris Stella, 1886) et surtout quatre oratorios parmi lesquels Marie-Magdeleine (1873) et La Vierge (1880).

    Dans le recueil de Durdilly, le titre de ses litanies fait référence à Valfleury, célèbre lieu de pèlerinage marial situé à côté de Saint-Étienne, ville natale du compositeur. Divisées en deux parties équilibrées (Kyrie, Sancta Maria), composées de façon inhabituelle sur la même matière musicale, elles se caractérisent par leur écriture le plus souvent polyphonique et leur expressivité fondée sur de belles inflexions chroma­tiques et des nuances constamment changeantes.

    Siba Sousou,
    sous la direction scientifique de Jean-Christophe Branger et Nicolas Moron
  • Biographie : Né à côté de Saint-Étienne dans une famille très nombreuse, Massenet reçoit ses premières leçons de sa mère, bonne pianiste. Il entre au Conservatoire de Paris à l’âge de 11 ans et effectue ses études auprès de maîtres tels que Bazin, Reber et Ambroise Thomas. Il obtient le premier grand prix de Rome en 1863 et part pour la « ville éternelle » où il fera la connaissance de Liszt. De retour à Paris, il livre à la scène son premier ouvrage (La Grand’ Tante, 1867) à 25 ans et entame une carrière de compositeur – essentiellement mais non exclusivement – lyrique qui ne connaîtra pratiquement que des succès. Plus d’une vingtaine d’opéras vont suivre jusqu’à sa mort (plusieurs ouvrages seront d’ailleurs présentés à titre posthume), témoignant à la fois d’une grande force de travail et d’une inépuisable inspiration : Le Roi de Lahore (1877), Manon (1884), Le Cid (1885), Le Mage (1891), Werther (1892) sans doute le plus célèbre de tous, Thaïs (1894), Cendrillon (1901), Don Quichotte (1910)… Il absorbe et fait siennes – ce qui lui a été parfois reproché – les influences des écoles étrangères : allemande avec Wagner, italienne avec les véristes. Orchestrateur hors pair, très attentif à la mise en musique de la langue française, il est le musicien qui dépeint le mieux le mystère et la sensualité de la femme, tant à l’église (voir ses trois « légendes sacrées » ou « mystères » : La Vierge, Ève, Marie-Madeleine) qu’au théâtre (beaucoup de ses opéras portent en effet des noms de femmes). Nommé professeur de composition au Conservatoire en 1878, il occupera ce poste pendant 18 années et aura ainsi une influence considérable sur toute une génération de musiciens au nombre desquels on trouve Gustave Charpentier, Gabriel Pierné et Reynaldo Hahn.
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