Litanies de la Sainte Vierge

Symetrie - EAN : 9790231807974
GOUNOD CHARLES
Édition papier

EAN : 9790231807974

Paru le : 15 nov. 2015

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  • EAN13 : 9790231807974
  • Réf. éditeur : SYM-0797-4
  • Editeur : Symetrie
  • Date Parution : 15 nov. 2015
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 9
  • Format : H:297 mm L:210 mm E:2 mm
  • Poids : 70gr
  • Résumé : Passé à la postérité grâce à ses opéras (Faust, 1859 ; Roméo et Juliette, 1867), Charles Gounod (1818-1893) laisse également un important corpus de musiques religieuses qui témoignent de sa foi chrétienne : cantates, cantiques latins à une ou plusieurs voix, messes brèves, messes de requiem et oratorios dont Mors et vita (1885), déjà dédié à Léon XIII. Tenant compte « des accents de la prosodie latine qu’il s’efforce de faire coïncider avec les temps forts », Gounod s’intéressait aussi aux polyphonies de la Renaissance dont le style peut imprégner certaines de ses œuvres.

    Composées dans la dernière période créatrice de Gounod, les présentes litanies sont méconnues, mais elles rejoignent plusieurs pièces du compositeur consacrées à la Vierge (motets, etc.) et attestent de cette orientation mêlant simplicité archaïsante et harmonies typiques du temps. Leur dédicace (« Notre-Dame de Chartres ») provient de la proximité de Chartres avec Morainville où Gounod trouvait refuge lorsqu’il se rendait dans la propriété de ses amis Beaucourt.

    Siba Sousou,
    sous la direction scientifique de Jean-Christophe Branger et Nicolas Moron
  • Biographie : Charles Gounod est né à Paris en 1818 et mort à Saint-Cloud en 1893. Il prend ses premières leçons de musique auprès de sa mère puis avec le compositeur Reicha. Après avoir obtenu son baccalauréat de philosophie, il entre au Conservatoire en 1836, dans les classes d’Henri-Montan Berton et de Fromental Halévy. Il se présente à plusieurs reprises au concours du prix de Rome, qu’il finit par décrocher en 1839 avec la cantate Fernand. Revenu d’Italie (et après un séjour en Allemagne), il envisage un moment d’entrer dans les ordres, mais sa passion pour le théâtre lui fait abandonner ce projet. Il écrit d’abord un opéra destiné à Pauline Viardot – Sapho (1851) – qui, à défaut de succès, lui vaut la commande d’une musique de scène pour la Comédie-Française : Ulysse. C’est à partir de 1854 que le rythme de ses productions lyriques s’accélère : La Nonne sanglante (1854), Le Médecin malgré lui (1858) puis le chef-d’œuvre : Faust, créé le 19 mars 1859. Aucun ouvrage – sinon peut-être Roméo et Juliette (1867) – n’égalera la postérité de l’opéra inspiré du drame goethéen. Car parmi les autres ouvrages de Gounod, comme La Colombe, Philémon et Baucis, Cinq-Mars, Polyeucte, La Reine de Saba, Le Tribut de Zamora, plusieurs seront de véritables et cuisants échecs. À côté de cette abondante production opératique, il faut également souligner l’importance de la musique religieuse dans le corpus du compositeur, qui s’illustra aussi bien dans le motet intimiste que dans la grande messe solennelle.
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