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Manuel pratique du traduire
Inalco Presses - EAN : 9782858313297
Édition papier
EAN : 9782858313297
Paru le : 15 sept. 2019
20,00 €
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- EAN13 : 9782858313297
- Réf. éditeur : 076113
- Collection : TRANSAIRE(S)
- Editeur : Inalco Presses
- Date Parution : 15 sept. 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 192
- Format : H:240 mm L:160 mm E:10 mm
- Poids : 310gr
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Résumé :
« Pratique du traduire » est le titre d'un séminaire qui fait suite aux séminaires « Théorie » et « Critique du Traduire ». La distinction radicale entre les trois est évidemment partiellement factice, mais il fallait à la fois nommer chacun de ces séminaires et souligner une sorte de progression (souhaitée et souhaitable) dans l'apprentissage du métier de traducteur-traduisant. Il n'est pas nécessaire de connaître chaque langue pour savoir lire et corriger (modestement) un texte traduit. Il faut et il suffit de le traiter en tant que texte traduit, quels qu'aient été les choix du traducteur, même si son objectif ¿ hélas trop fréquent encore ¿ était de gommer ou d'effacer l'acte de traduire. Ce livre, ou manuel, est le résultat d'une posture de traducteurs, c'est-à-dire le résultat des réflexions croisées de traducteurs enseignants d'une part, d'autre part le désir de faire des participants au séminaire, à leur tour, des traduisants. Ces réflexions sur des pratiques (que les champs littéraires embrassés peuvent rendre très hétérogènes) ne nous ont pas conduit à proposer un catalogue de réponses, de trucs et astuces ou une boite à outils. Il s'agit d'une série de questionnements soulevés par la pratique des textes (le traducteur est, avec l'auteur, le seul à connaitre le livre mot à mot), destinés à aiguiser un regard, une attitude. Le futur traducteur sera donc appelé à développer une démarche proche sur la base d'enquêtes collectives. Rien ne serait plus éloigné de notre pensée que d'imaginer en arriver à une solution unique. Mais nous nous refusons tout autant à en inférer que tout est relatif, tout est équivalent, que toutes les solutions se valent. Les solutions acceptables sont celles qu'aura dicté le texte à traduire.
« Pratique du traduire » est le titre d'un séminaire qui fait suite aux séminaires « Théorie » et « Critique du Traduire ». La distinction radicale entre les trois est évidemment partiellement factice, mais il fallait à la fois nommer chacun de ces séminaires et souligner une sorte de progression (souhaitée et souhaitable) dans l'apprentissage du métier de traducteur-traduisant. Il n'est pas nécessaire de connaître chaque langue pour savoir lire et corriger (modestement) un texte traduit. Il faut et il suffit de le traiter en tant que texte traduit, quels qu'aient été les choix du traducteur, même si son objectif ¿ hélas trop fréquent encore ¿ était de gommer ou d'effacer l'acte de traduire. Ce livre, ou manuel, est le résultat d'une posture de traducteurs, c'est-à-dire le résultat des réflexions croisées de traducteurs enseignants d'une part, d'autre part le désir de faire des participants au séminaire, à leur tour, des traduisants. Ces réflexions sur des pratiques (que les champs littéraires embrassés peuvent rendre très hétérogènes) ne nous ont pas conduit à proposer un catalogue de réponses, de trucs et astuces ou une boite à outils. Il s'agit d'une série de questionnements soulevés par la pratique des textes (le traducteur est, avec l'auteur, le seul à connaitre le livre mot à mot), destinés à aiguiser un regard, une attitude. Le futur traducteur sera donc appelé à développer une démarche proche sur la base d'enquêtes collectives. Rien ne serait plus éloigné de notre pensée que d'imaginer en arriver à une solution unique. Mais nous nous refusons tout autant à en inférer que tout est relatif, tout est équivalent, que toutes les solutions se valent. Les solutions acceptables sont celles qu'aura dicté le texte à traduire. - Biographie : Pauline Fournier est maître de conférences de slovène à l'Inalco, où elle enseigne depuis 2011, après avoir soutenu son doctorat en langue et littérature slovènes en 2009 sous la direction d'Antonia Bernard. Membre du CREE et membre associée du Cerlom, ses recherches se font dans les domaines de la littérature et de la traduction