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MARCIGNY et ses vieux souvenirs
Livre Histoire - EAN : 9782758611158
Édition papier
EAN : 9782758611158
Paru le : 19 nov. 2024
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- EAN13 : 9782758611158
- Réf. éditeur : 3588
- Collection : MVVF
- Editeur : Livre Histoire
- Date Parution : 19 nov. 2024
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 170
- Poids : 501gr
- Résumé : Vers l’an 1000 Marcigny est une humble bourgade, composée de quelques métairies et de deux églises, protégée par le Donjon de Semur. Un monastère bénédictin y sera fondé par Geoffroy en 1052, suivi par le Prieuré des Dames bénédictines quelques années plus tard. Attirés par la renommée du lieu, artisans et commerçants viendront y installer leurs échoppes, à l’ombre du prieuré. La ville érigée en commune vers 1250 prendra le nom de Marcigny-sur-Loire. S’entourant de remparts, la cité devient une véritable place forte au XVe siècle. Un couvent pour les religieux Récollets y est fondé en 1620. Puis un couvent d’Ursulines s’installe en 1643 pour l’instruction des jeunes filles. Cinquante ans plus tard un hôpital est construit tout près du prieuré. Marcigny connaîtra une longue période de prospérité jusqu’à la Révolution où les couvents seront en grande partie démolis. L’hôtel de la Prieure, construit par Verniquet, sera, lui, sauvé de la destruction. Jusqu’au XVIIe siècle, tous les terrains situés aux abords des remparts constituent les faubourgs où les habitants ont leurs jardins, leurs chènevières, leurs champs. L’auteur évoque l’évolution des quartiers, des rues, au fil du temps. Les halles construites en 1378 étaient le rendez-vous habituel des flâneurs et des curieux en quête de potins et nouvelles. Marcigny restera un « petit centre intellectuel et bourgeois » de bonne renommée jusqu’en 1870. L’église Saint-Nicolas, datant du XIIIe siècle, deviendra l’église paroissiale. La mairie, installée depuis 1790 dans l’ancien couvent des Récollets, prend possession de l’immeuble des Jacquet de Chalonnay en 1827. La maison Cudel de Moncolon, servira de prison pour les nobles, les suspects, les parents d’émigrés sous la Révolution. La maison Auloy, accueille la première fabrique de toile damassée en France vers 1828. Parmi les nombreuses personnalités locales saluées ici, signalons tout particulièrement J.-E. Reverchon, bienfaiteur de Marcigny dont il fut le maire de 1841 à 1851, ou encore le poète Berchoux, le sculpteur Captier, F. Ginet-Donaty et J.-B. Derost, fondateurs du musée de Marcigny.