Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Mémoire dominicaine numéro 25 Saint-Gilles du Gard 1208 Autour du meutre d'un légat ponifical
EAN : 9782204093811
Paru le : 19 août 2010
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782204093811
- Réf. éditeur : 775762
- Collection : MEM DOMINICAINE
- Editeur : Cerf
- Date Parution : 19 août 2010
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 175
- Format : H:240 mm L:155 mm E:11 mm
- Poids : 338gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
La première partie de ce numéro de " Mémoire dominicaine " est consacrée aux actes de la journée d'étude qui eut lieu le 27 septembre 2008 à Saint-Gilles du Gard, à l'occasion du huitième centenaire de l'assassinat du légat du pape Pierre de Castelnau, le 14 janvier 1208. On pourrait s'étonner à juste titre qu'une revue d'histoire dominicaine publie une série d'articles dans lesquels on parle fort peu des dominicains. En janvier 1208, saint Dominique, qui avait appris que le mois précédent son évêque, Diègue d'Osma, venait de mourir, partait pour l'Espagne et ne devait revenir dans le Midi qu'en 1211. Le contexte avait alors bien changé, l'une des conséquences de l'assassinat de Pierre de Castelnau étant le déclenchement de la croisade contre les Albigeois en 1209. C'est justement ce contexte particulier qu'étudient les contributions de cette journée d'étude de Saint-Gilles du Gard, ce qui permet de mieux comprendre l'originalité de la prédication de saint Dominique et de ses frères. Elles ont ainsi toute leur place dans une revue d'histoire dominicaine. La suite de ce numéro de " Mémoire dominicaine " est plus directement consacrée à l'évocation de quelques frères. Le P. Lagrange, tout d'abord, dont on ignore généralement combien fut grande sa dévotion à sainte Thérèse d'Avila ; puis le P. Zapletal, qui fut professeur d'Ancien Testament à Fribourg en pleine crise moderniste ; enfin les PP. Chenu, Congar et Féret dont on évoque ici la part qu'ils prirent aux débats du deuxième concile du Vatican. [Paul-Bernard Hodel]