Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Mémoires de justice
EAN : 9782020962360
Paru le : 12 mars 2009
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782020962360
- Réf. éditeur : SEL190478
- Editeur : Seuil
- Date Parution : 12 mars 2009
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 212
- Format : H:260 mm L:195 mm E:20 mm
- Poids : 697gr
-
Résumé :
Michel Zaoui, qui fut l’un des avocats de parties civiles dans les trois procès Barbie (1987), Touvier (1994) et Papon (1997/8), revient sur cette expérience judiciaire inédite ; non pas pour livrer ses souvenirs, mais pour en dresser un bilan critique. Pour avoir accompagné les victimes, il connaît mieux que quiconque les promesses et les ambiguïtés de cette justice hors-normes. Ces trois accusés incarnaient chacun l’un des aspects du crime contre l’humanité : le militaire qui ordonne, le fonctionnaire qui exécute, et le milicien qui en rajoute; le nazi, le fonctionnaire de Vichy et le collabo.
Son regard de professionnel se croise avec celui de Noëlle Herrenschmidt qui, elle aussi, a assisté à ces trois procès et qui nous en restitue ici l’ambiance. Chacun de ces regards redonne, qui par l’écrit, qui par l’aquarelle, à ces procès leur chair, leur épaisseur humaine, leur densité émotionnelle, leur part inaboutie.
Revenir sur ces procès vingt ans après permet à Michel Zaoui de retenir les enseignements, les acquis ou les manques, voire les contradictions de ce « crime de bureau ». Qu’en a retenu la justice pénale internationale qui continue de se construire aujourd’hui ? C’est la question que se pose Antoine Garapon dans la postface.