Mes Amis

Points - EAN : 9782757893869
Emmanuel Bove
Édition papier

EAN : 9782757893869

Paru le : 26 mai 2022

7,50 € 7,11 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782757893869
  • Réf. éditeur : POI207112
  • Collection : POINTS CLASSIQU
  • Editeur : Points
  • Date Parution : 26 mai 2022
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 240
  • Format : H:179 mm L:110 mm E:22 mm
  • Poids : 136gr
  • Résumé :

    L’histoire est simple comme son titre : Victor Bâton est à la recherche de ses amis. De ceux qui pourraient le devenir tout du moins, car il enchaîne les rencontres, éperdument, et sans succès. Sont-ce pour autant des échecs ? Car Bâton n’est pas un héros : c’est un homme, seul, vivant dans la précarité autant que dans l’oisiveté. Il persiste pourtant en lui une force qui ne cesse d’irradier, à l’image de l’œuvre d’Emmanuel Bove dont la postérité court secrètement jusqu’à nous tant son ultra moderne solitude garde un siècle plus tard toute sa vivacité.

    La preuve en est que tout le travail d’Éric Chauvier, anthropologue et écrivain, est habité de part à part par la discipline existentielle de Mes Amis. Il lui rend ainsi hommage dans un texte où il fait miroiter par un puissant jeu de réécriture la puissance politique intacte d’une vie qui vaut d’être vécue à condition de ne pas trouver sa place. Une vie où il ne saurait être question de projet et de victoire, mais bien plus des aptitudes que nous déployons pour nous ajuster à nos contemporains.

    « L’œuvre de Bove se garde de toute grandiloquence et se tient éloignée de tout ce qui constitue le grand genre littéraire. C’est comme si elle avançait de détail en détail et que le lecteur se retrouvait en définitive piégé, comme si son propre portrait se dessinait à travers ce qui ne semblait que de simples coups de crayon dont il n’imaginait pas que, à les rassembler, ils aboutiraient à quelque chose de si ressemblant. C’est comme si, à cause de ou malgré son humour, l’œuvre de Bove finissait par faire peur, à frapper si juste. » Libération

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.