Miroir, oh mon miroir !

Oeil Femme Barb - EAN : 9791096401185
ESSELLEBEE CRISTINA
Édition papier

EAN : 9791096401185

Paru le : 21 avr. 2022

20,00 € 18,96 €
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  • EAN13 : 9791096401185
  • Réf. éditeur : 05-001
  • Collection : IRREVERENCIEUSE
  • Editeur : Oeil Femme Barb
  • Date Parution : 21 avr. 2022
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 64
  • Format : H:210 mm L:150 mm E:16 mm
  • Poids : 210gr
  • Résumé : Comme un hommage à Jean Cocteau, Cristina Essellebée a choisi de photographier avec son téléphone portable « les objets qui réfléchissent », trouvant son miroir dans les pommeaux de douche, les robinets ou les bondes de baignoires. Autant d’objets et de reflets de son corps, autant d’incursions dans l’intime, d’invitations, d’images étonnantes, parfois dérangeantes à force d’anamorphose mais qui posent toutes la question du regard et du désir.
    Paul-Armand Gette - auteur de la préface - dit de son travail : « A l’intimité des lieux consacrés à la toilette, Cristina Essellebée ajoute le regard narcissique que le chrome lui renvoie. C’est cela qu’elle nous montre, nous tenant à distance de la nudité du corps avant l’ablution. Ces reflets, proches de l’anamorphose, sont à inscrire dans l’espace de la pudeur, qu’elle oublie un peu parfois ! »
    Et pour offrir au lecteur un voyage ludique et original, L’oeil de la femme à barbe a proposé à 16 auteur-e-s un tirage au sort « à l’aveugle » dans les 32 photographies du livre et leur a donné carte blanche quant au texte. Critiques d’art, poètes, artistes, écrivains, journalistes ont joué le jeu et y ont, semble-t-il, pris beaucoup de plaisir. Nous en souhaitons de même aux lecteurs...
  • Biographie : Cristina Essellebée a vécu plusieurs vies. La première sous le nom de Lydia Belostyk.
    Après une formation artistique aux Beaux-Arts de Valenciennes et une licence à l’université de Lille III, elle a été tour à tour : femme de ménage, caissière, enseignante en Arts-plastiques, mère de deux enfants, bibliothécaire... Mais toujours photographiante, selon ses propres termes.
    Au cours des années, elle a travaillé autour de la question du temps, de l’éphémère et du permanent, de l’indéterminé et du déterminé. Elle a photographié les signes du temps et les mouvements sociaux avec Le désarroi, a pris des clichés À quelques secondes d’intervalle et a réalisé une grande série de Portraits de poètes, qu’elle continue à enrichir régulièrement.
    En 2015, naît le personnage de Cristina Essellebée (SLB). Celle-ci investit les lieux du quotidien et fait des photos de cuisses volées dans l’espace public du métro, des selfies pris dans l’espace clos des toilettes, et d’autres dans l’espace privé des salles de bain. Armée de son portable, elle traque et photographie ainsi - à travers les manifestations de son corps et de celui des autres - l’irruption du désir dans notre univers le plus ordinaire.
    « Un jour, dit-elle, au détour des ablutions quotidiennes, je l’ai vu ! Bouton, pomme de douche ont réfléchi l’image de mon corps, l’existence de mon corps. Corps réel, corps fantasmé, corps vibrant. »
    SLB photographie les objets qui « réfléchissent » tels la chasse d’eau, la pomme de douche, la bonde de la baignoire. Des objets qui, de façon inattendue, nous rappellent que nos corps sont là, bien présents.
    Miroir, oh mon miroir est le premier livre consacré à son travail.
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