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Moi et ma vie de peintre - un journal en images
Oeil Femme Barb - EAN : 9791096401116
Édition papier
EAN : 9791096401116
Paru le : 15 avr. 2019
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- EAN13 : 9791096401116
- Réf. éditeur : 01-004
- Collection : RESTITUTIONS
- Editeur : Oeil Femme Barb
- Date Parution : 15 avr. 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 184
- Format : H:210 mm L:210 mm E:15 mm
- Poids : 950gr
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Résumé :
L’expression plastique de Guillaine Querrien (peintre, dessinatrice et graveuse) oscille d’ordinaire entre paysage et abstraction. Mais c’est une tablette numérique qu’elle a choisi d’utiliser pour tenir son «journal en image », lui donnant ainsi une spontanéité et une liberté parfaitement adaptées à son propos, emprunt de légèreté ou de gravité, et toujours plein d’humour. Il s’agit donc bien du journal
d’une peintre et du regard qu’elle porte sur sa vie, sur le monde.
« Moi et ma vie de peintre », est-ce que ça va intéresser les gens ? « Moi et ma vie de peintre » en images, ça c’est prometteur ! Pourtant, les images n’ont rien à voir avec la peinture de la peintre... Alors ?
Et les dessins sont réalisés sur une tablette numérique. Cela a-t-il un rapport avec la toile, l’huile, les pastels, le papier ou la presse à gravures ? Pas vraiment, sauf qu’il s’agit de la même femme et qu’elle est peintre. Être peintre, ce n’est pas tout à fait comme un travail ordinaire. Être peintre, c’est 24 heures sur 24, même quand on ne peint pas. Pour un peintre, c’est l’affaire de toute une vie ; toute une vie de peintre...
Donc la peintre décide de tenir son journal en images, cela semble en effet une bonne idée. Toutefois, le stylet de la tablette ce n’est pas le pinceau. Le trait est différent, plus libre, plus spontané peut-être, il se prend moins au sérieux. Et cela tombe bien, parce que ce journal est plein d’humour, de légèreté, de tendresse et de gravité aussi. Comme la vie en somme, même la vie d’une peintre.
Il ne s’agit donc pas d’une bande dessinée, même si l’on trouve quelques bulles (de savon) au détour des pages. Ce n’est pas non plus un roman graphique, car la vie n’est pas un roman. C’est donc bien un journal en images, c’est d’ailleurs écrit dessus. Un journal au fil d’une année et des saisons, le journal d’une femme qui partage sa vie entre ses deux maisons de Rio de Janeiro et de Paris.
Mais attention, il s’agit du journal d’une peintre et du regard qu’elle porte sur sa vie, sur le monde. Et c’est cela qui change tout... -
Biographie :
D’origine bretonne, Guillaine Querrien est née à Paris en 1959. Elle patauge dès son plus jeune âge dans la gouache, les collages et les pastels gras, profitant de la salle de bain familiale transformée à volonté en atelier de peinture. Puis elle fait des études de théâtre à l’Université de Vincennes, crée une compagnie et peint de grandes toiles, pour le décor de fond de scène d’un spectacle avec des textes de Dario Fo, se replongeant ainsi dans la peinture. Quelques années plus tard, on la retrouve en Espagne où elle monte une adaptation de Don Quichotte.
En 1983, séjournant en Bretagne, elle profite du rapatriement à Rio de Janeiro d’un magnifique voilier, pour accomplir la mythique traversée de l’Atlantique à la voile, rêve de tout breton qui se respecte. Elle découvre le Brésil, rentre en Espagne et met en scène Beckett et Piano Xofer. Finalement, décidant de lutter contre ses propres moulins à vent, elle choisira de se dédier entièrement à son travail de peintre et de retourner vivre à Paris. Sa peinture s’exprime alors entre « Art singulier » et « Figuration narrative » ; elle expose à Paris à la galerie L’œil de bœuf, au salon Figuration critique et dans plusieurs galeries en France et à l’étranger. Sa rencontre avec Harold en 1986 sera décisive ; elle va partager avec lui sa passion pour le Brésil, sa vie et des professions en équilibre entre Rio et Paris.
En 1995, elle s’initie à la gravure sur cuivre à l’école d’art du Parque Lage de Rio de Janeiro. Habitant à côté du Jardim Botânico, elle passe de nombreuses heures à y dessiner cette végétation envahissante des tropiques qui imprégnera de plus en plus ses peintures et ses gravures. Au Brésil, entre observation du végétal et des mouvements de la mer, elle développe tout un travail sur la nature. En Bretagne, nourrie de la contemplation du rythme des marées, elle entame une grande série de pastels et peintures oscillant entre paysage et abstraction.
Dans les années 2000, Guillaine organise deux expositions à Paris, l’une au Pavillon Davioud du Jardin du Luxembourg, l’autre à la Maison de l’Amérique Latine. Elle expose régulièrement en France et au Brésil : entre autre avec la Galerie Michèle Broutta à partir de 2001, plus récemment en 2017 en duo avec François Houtin au Centro Cultural dos Correios de Rio de Janeiro puis à la Galerie Sagot le Garrec à Paris.
En juin 2019, c’est la Mairie du VIème arrondissement de Paris qui l’accueille dans le salon du Vieux Colombier pour présenter ses « Paysages d’eau-lumière » peintures, gravures, dessins et pastels - sous le commissariat du critique d’art Christian Noorbergen.