Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
NAPOLI SUBLIME - Jean Luc Dubin
EAN : 9782490952243
Édition papier
EAN : 9782490952243
Paru le : 31 déc. 2099
59,00 €
55,92 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782490952243
- Collection : HEMERIA
- Date Parution : 31 déc. 2099
- Disponibilite : Abandon de parution
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 128
- Format : H:1 mm L:200 mm E:280 mm
- Poids : 0gr
- Résumé : Un voyage photographique hors-normes dans la ville de Naples. Une conversation entre photographie et sociologie grâce au regard de Jean Luc Dubin, photographe et plasticien, et Florian Villain, chercheur en sciences sociales. Un livre-objet artistique et documentaire destiné aux amoureux de Naples, un hommage rendu aux Napolitains. « À Arles, où je montrais mon travail Beauté extrême sur les monstruosités, j'ai rencontré quelqu'un qui vivait en Italie. Il m'a dit : "Toi, tu es fait pour aller à Naples". C'était en juillet 2017, et, le 3 septembre, j'étais à Naples. Dès lors, j'ai entrepris ce que j'appelle la "visite des images de Naples". Ces images, présentées ici, sont des réalités transfigurées, des ex-votos, des croyances et des poésies de vies humaines... J'ai été happé par ce que les Napolitains font de leur ville et de leur vie. Ils sont suspendus à un rocher, et, au-dessus d'eux, il y a un volcan et la possibilité de la mort : ils ont vécu des choses effroyables, il y a eu 250 000 morts à la fin du XVIIe siècle, des épidémies, des révoltes populaires, et puis l'éruption du Vésuve, bien sûr. Ils allaient au-devant de la lave avec des statues de saint Janvier en bois, en espérant arrêter les coulées. Ce sont des gens extrêmement attachants. Et Naples fut, avec le Caravage, la plus grande ville artistique d'Europe. Ma méthode est de ne pas en avoir, j'erre dans cette ville que j'ai appris à aimer, sans parler l'italien ou le napolitain. Je pratique une photographie de rue et de sous-sols, m'efforçant de laisser venir à moi les images. Mon seul prisme de réflexion est ce magnifique rituel des âmes errantes, certes tombé en désuétude mais qui, pas la bienveillance qu'il exprime, donne une image passionnante de la pensée napolitaine. »