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On ne peut pas se fier...
Filigranes - EAN : 9782350465630
Édition papier
EAN : 9782350465630
Paru le : 9 juin 2022
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- EAN13 : 9782350465630
- Réf. éditeur : 978235046563
- Collection : HORS
- Editeur : Filigranes
- Date Parution : 9 juin 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 72
- Format : H:210 mm L:130 mm E:5 mm
- Poids : 144gr
- Résumé : Mohammad Bamm et sa poésie sont bien connus du public persanophone, notamment des adeptes du "ghazal postmoderne". Il peut sembler étrange que son premier livre soit publié en version bilingue, avec une traduction française, à des milliers de kilomètres de son pays natal. La traduction de la poésie dans une autre langue, bien qu’elle puisse relier les deux cultures et attirer des publics du monde entier (surtout en français, qui possède une littérature riche et puissante), est souvent un exercice excessivement difficile. Si le poète, le traducteur et le texte ne sont pas en mesure d’établir les communications requises, en raison de la perte des capacités et des techniques linguistiques, de l’incapacité à transférer les références textuelles à des événements culturels et historiques, de la perte de la musique verbale, de la difficulté de compréhension par le lectorat en raison des différences culturelles, etc., le résultat ne sera pas aussi significatif et l’oeuvre traduite ne pourra pas être pleinement accueillie par le public. Rappelons que le "Ghazal postmoderne" possède des formats rythmés et, qu’en persan il est difficile de respecter les rythmes et les rimes dans la traduction. D’autre part, les oeuvres appartenant à ce courant de poésie sont truffées de jeux verbaux ainsi que de références indigènes et culturelles, généralement perdues lors de la traduction ou nécessitant de nombreuses notes de bas de page afin de transmettre tout leur potentiel. Mehdi Mousavi<br />
- Biographie : Nazanin Bamm - Eftekhari L’a accompagné dans ce voyage. Nazanin est née en mai 1993 à Abadan. <br />Elle a poursuivi ses études à Abadan et à Mashhad. Elle a commencé la photographie après la mort de son père, probablement en réaction à cette perte et de manière totalement intuitive. Elle a d’abord pris des photos de ses propres mise en scènes avec son téléphone portable. <br />Un jour, alors qu’elle se rendait dans un studio pour imprimer ses photographies, elle a reçu une offre d’emploi. Dès lors, elle a exercé son art de manière professionnelle tout en poursuivant ses études de photographie.<br />Alors que le couple se trouvait en Turquie, ils ont appris que le tribunal avait condamné Mohammad à la prison et à la flagellation. Il ne faisait dès lors aucun doute qu’ils devaient poursuivre leur voyage. Finalement, grâce au soutien du réseau ICORN, ils ont quitté la Turquie pour la France et ont été accueillis par la Ville de Poitiers.<br />Des expériences vécues de façon similaire – d’Abadan à l’exil – ont inspiré ces deux-là pour la publication de ce recueil.