Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Otoshiyori, trésors japonais
Association - EAN : 9782844148872
Édition papier
EAN : 9782844148872
Paru le : 4 févr. 2022
22,00 €
20,85 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782844148872
- Editeur : Association
- Date Parution : 4 févr. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 176
- Format : H:19 mm L:152 mm E:217 mm
- Poids : 470gr
- Résumé : « J’aime explorer les territoires inconnus, la vieillesse en est encore un, du moins pour quelques temps. » Au cours de ses nombreux séjours au Japon, l’intérêt d’Isabelle Boinot pour les personnes âgées, les otoshiyori, ne cesse de grandir. Elle les côtoie, les observe, les dessine. C’est un univers fragile que l’autrice s’est employée à consigner, élaborant un vaste répertoire de pâtisseries, de lieux, d’emballages colorés, d’animaux de compagnie, de petits chariots et de poussettes indispensables à la vie quotidienne. Elle nous fait entrer dans les kissaten, ces cafés de quartier traditionnels qu’elle affectionne et rend avec délicatesse la séduisante désuétude de ces lieux, bien souvent aussi anciens que leur propriétaire. Sous les couleurs douces et pastel, la vie n’est pourtant pas toujours facile. Nombreux sont les otoshiyori à devoir, par nécessité financière, rester en activité à 70 ans passés et leur précarité se fait d’autant plus discrète que la pression à ne pas peser sur le reste de la société est forte. Ce livre a en partie été réalisé lors d’une résidence croisée entre la Maison des auteurs à Angoulême et la Villa Médicis à Rome en 2020.