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Pax neoliberalia
IXE - EAN : 9791090062344
Édition papier
EAN : 9791090062344
Paru le : 24 nov. 2016
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- EAN13 : 9791090062344
- Réf. éditeur : 979109006234
- Collection : RACINE DE IXE
- Editeur : IXE
- Date Parution : 24 nov. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 192
- Format : 1.50 x 14.00 x 18.00 cm
- Poids : 208gr
- Résumé : Ancré dans les recherches féministes sur la mondialisation et la dynamique des rapports sociaux de sexe, de race et de classe, ce livre est un essai sur l'usage méthodique de la force (dite brute) dans la mondialisation néolibérale. Le fil très rouge de l'apprentissage institutionnel de la violence relie les quatre textes qui le composent. Et l'analyse - de la violence domestique en temps de guerre (au Salvador), du dressage des soldats à la férocité (en Turquie), des techniques de guerre de basse intensité (au Mexique), des tactiques coercitives des transnationales (au Guatemala) - dévoile les logiques de cette phase de « gouvernance » capitaliste ici nommée, par antiphrase, Pax neoliberalia.
- Biographie : Maîtresse de conférences en sociologie à l’Université Paris-Diderot, Jules Falquet est coresponsable du Centre pour la documentation, la recherche et les études féministes (Cedref). Elle est membre du comité directeur de la Fédération de recherche sur le genre-RING, du réseau scientifique TERRA et de l’Association pour le développement des études historiques en Amérique centrale. Elle fait partie des comités de direction des revues Nouvelles questions féministes, Les Cahiers du genre, Les Cahiers du Cedref et La manzana de la discordia. «Depuis 1989, je vis et travaille entre la France, le Mexique, le Salvador et d’autres pays d’Amérique latine et des Caraïbes. Mes premières recherches portaient sur la scolarisation des femmes indiennes du Chiapas (DEA), puis sur la participation des femmes au projet révolutionnaire armé au Salvador. Suivant les évolutions des mouvements sociaux de la région (de femmes et féministes, paysans et indiens), je travaille aujourd’hui sur les résistances collectives à la mondialisation néolibérale et ses conséquences (nouvelles idéologies de la “gouvernance” et du “développement”, transformation des migrations, ré-articulation des rapports sociaux de sexe, classe et “race”, instrumentalisation du “genre”).» Jules a aussi écrit pour les Éditions iXe l’avant-propos du livre d’Andrée Michel, Féminisme et antimilitarisme. Et elle a codirigé avec Paola Bacchetta Théories féministes et queers décoloniales. Interventions Chicanas et Latinas états-uniennes, un numéro du Cedref coédité avec les Éditions iXe.